Redonda me(nte) amarela

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2009
Autor(a) principal: Tibola, Talita
Orientador(a): Silva, Tomaz Tadeu da
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/15846
Resumo: Entre le style de Gilles Deleuze et le plaisir du texte de Roland Barthes: le texte. Une écoute de mots et de choses. L'écriture surtout et tout ce qu'elle dérange: la pensée, le corps, une couleur sans lieu. Déplacer les mots, découper les énoncés: un procédé. Le double, le monstre, le Corps sans Organe, la mort, la dissipation, le sens, l'événement. Une obsession, subtil peut-être: le jaune, le jaune-événement. Répétition: le jauneinsistance, persistance. Parole, son, chose, effet. De poésie? Le texte: il parle du jaune. Mais il parle plutôt de ce que disparaît et devient transparent. Du corps immobile, de sa pénible chute et de sa disparition. Qu'est-ce qu'il y a après l'oubli? Peutêtre le jaune. Un corps bouleversé? D'un corps défait ce que reste c'est l'intensité. Le jaune intense. De l'écriture ce que reste c'est la marque.