Da hospitalidade às psicoses: um discurso em interrogação

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2012
Autor(a) principal: Simoni, Ana Carolina Rios
Orientador(a): Moschen, Simone Zanon
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Palavras-chave em Inglês:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/61777
Resumo: Ce travail dérive d’un parcours clinique et institutionel, à partir du quel s’est formulé la question sur les effets dans les liens sociaux du reencontre aves la specificité de la position psychique des sujets psychotiques. On raconte des passages d’un itinéraire de recherche, fait du pari à la réinscription des bordes de la clinique psychanalytique – lequel se montre par les experiences des ateliers thérapeutiques et de l’accompagnement thérapeutique, mais pas seulement –, pour dire des modes par lesquelles la question a pris la forme d’un discours en interrogation. On part de la formulation lacanienne sur la structure discursive des liens sociaux – en considerant, surtout, le discours universitaire et le discours capitaliste – et de la place extérière que la structure psychotique tient par rapport le discours. Puis on situe l’hospitalité, selon l’élabore Derrida, comme possibilité de accuellir les différences portées par les psychotiques. Dans ce chamin, les concepts de transfert, résistance et témoin, d’après Freud et Lacan, apparaissent comme manières de nommer l’espace-temp où l’hospitalité à l’hors-discours peut émerger – dont la specificité se present dans les impasses de l’inscription des contours subjetifs entre le Je/moi et l’autre-Autre, le prope et l’ailleurs. De cette façon, on suggère que offrir l’hospitalité à l’alterité de la position subjetive des psychoses implique accueillir la tension inhérente aux limits du propre et de l’ailleurs comme une demande de la strutucture. On problematise la façon par laquelle le discours universitaires de la science, dans um moment de l’histoire de la culture, a répondu à cette “demande” en edifiant les murs de l’hospice et de la catégorie “maladie mental”, qui n’ont pas inscrit la différence, mais, contrairement, ont produit une intensification de l’impasse du narcissisme. On se demande donc comment le discours universitaire de la science d'aujourd'hui, en complicité avec le discours du capitalisme, peut être affecté, si l’hors-discours retrouve l’hospitalité du chercheur. À l’horizont, la question: offrir l’hospitalité aux psychoses produirait des effets de méthode? Serait l’hospitalité aux psychoses une opportunité pour que nous nous replaçons sur le plan éthique et politique par rapport à la manière dont, aujourd'hui, nous faisons nos incursions dans le monde de la connaissance?