Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2020 |
Autor(a) principal: |
Mattos, Elisangela Carpenedo de |
Orientador(a): |
Merlo, Alvaro Roberto Crespo |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/213425
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Resumo: |
Cet article propose d’étudier le lien entre les banquiers et les différentes formes de violence répandues dans l’environment de travail contemporain. Elle a été réalisée avec 13 des travailleurs de deux banques d’économie mixte situées dans l’état du Rio Grande do Sul, dans diverses succursales et villes. Les différentiels de la recherche, ainsi que leur importance, sont liés à l’étude des soi-disant restructurations, qui ont encore gangné en force depuis 2013, mais avec une nouvelle apparence, celle des licenciements volontaires ou encouragés et qui ont favorisé la violence psychologique liée au travail. Au-delà de l’analyse de la résolution des méthodes de réglementation et de gestion de la violence, qui s’est révélée être d’un usage formel dans les institutions où travaillent les banquiers interrogés. La recherche a été menée à travers l’étude de plusiers cas et analysée à l’aide des hypothèses des Cliniques du Travail, plus spécifiquement de La Clinique Psychodynamique du Travail. L’étude a un caractère qualitatif, utilisant comme instruments d’entretiens individuels semistructurés, le Negative acts Questionnaire Revised (NAQ-r) et le Self Report Questionnaire (SRQ-20). En ce qui concerne la violence psychologique liée au travail, nous avons constaté qu’elle était répandue sur le lieu de travail, em particulier dans l’harcèlement psychologique au travail. Des pratiques qui ont été favorisées par les modes de gestion actuels et qui reposent exclusivement sur le profit, détruisent les collectifs de travailleurs et suscitent la méfiance, par l’incitation à la compétitivité et à l’individualisme. La gestion par la violence a également été exarcerbée par les restructuracions successives et systématiques qui ont eu lieu dans le secteur bancaire, réduisant considérablement les emplois, et incitant les travailleurs à partir. Leur perception est que leur vie quotidienne est imprégnée de terrorisme, de pression, d’intimidation qui culmine dans l’insécurité et la peur. Ainsi, des mécanismes de défense tels que le déni, la rationalisation, la banalisation et la virilité défensive ont été utilisés pour minimiser les souffrances et permettre la continuité du travail, tout en empêchant l’interruption de la violence. Corrobore cela, les changements récents dans les lois du travail, qui ont contribué à affaiblir les droits des banquiers, les laissant sans protection et étant des alliés des employeurs, intensifiant les relations d’inégalité de pouvoir. Afin de faire face à la violence, des outils sont crées par les entreprises pour sensibiliser, empêcher et prendre les mesures appropriées si cela se produit. Nous en analysons deux ici: les codes d’éthique et les bureaux d’ombudsman. Par rapport au Code D’Éthique, nous avons constaté que la plupart des répondants le connaissent, mais ne le considèrent pas efficace dans la lutte contre la violence au travail, car même si de telles situations sont envisagées, elles se produisent encore. Em d’autres termes, la simple existence d’un document réglementant les relations interpersonnelles ne suffit pas pour empêcher les hostilités au travail. Comme avec le canal de plainte, dans ce cas, le bureaux d’ombudsman. Le travail réel a permis de conclure que telles questions ne peuvent pas être abordées et sont traitées comme um tabou, intensifiant la violence. Ainsi, cette pratique est considérée normale et acceptable par les institutions. |