Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2010 |
Autor(a) principal: |
Ghisleni, Angela Peña |
Orientador(a): |
Rosenfield, Cinara Lerrer |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/27501
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Resumo: |
Cette thèse a pour but d’analyser comment se déroule le processus de construction de l’identité professionnelle et comment ce processus a lieu moyeannt la précarité de la reconnaissance au travail de part de ses pairs et par l’hiérarchie. L’identité professionnelle correspond à un processus qui commence lors de la fin des cours de formation; qui continue tout au long de la confrontation avec les relations, l’ambiance et le marché de travail et qui rend possible la construction d’une image personnelle que l’individu veut présenter. Par l’analyse du processus de socialisation du professionnel dans les relations de travail il devient possible non seulement de comprendre le processus de construction de l’identité professionnelle, mais aussi de s’approcher du concept de profession dans l’actualité. En faisant cette analyse, on vérifie, par conséquent, la construction de l’identité au travail, qui se fonde sur trois éléments – la reconnaissance, l’autonomie et la coopération au travail – et qui confère à l’individu la possibilité d’un retour sur soi même capable de lui faire se sentir inclus dans des cercles d’égaux. Afin d’analyser le processus de construction de l’identité professionnelle, on a décidé d’ajouter un quatrième élement, celui de la connaissance professionnelle, lequel, tout comme les autres éléments cités ci-dessous, est l’un des axes d’analyse de cette thèse. Comme source de matériel empirique, on a choisi l’analyse du professionnel physiothérapeute inséré dans une unité de traitement intensif, en vue de l’indéfinition éventuelle de ses attributions et de ses contributions au travail de l’unité de traitement intensif, par rapport au travail du médecin, par exemple. La méthodologie utilisée dans cette thèse s’est fondée sur une approche qualitative, avec des questionnaires demistructurés qui ont été présentés le long de 2009 à 20 physiothérapeutes, 17 médecins et 17 infirmiers qui travaillent dans 14 unités de traitement intensif dans la ville de Porto Alegre, aussi que sur l’observation directe de deux unités de traitement intensif. L’analyse de contenu des donnés collectées permis comprendre le matériel empirique associé au référentiel théorique. Comme résultat de cette étude, on voit le rôle du processus de construction de l’identité au travail comme une étape conditionnante de la construction de l’identité professionnelle. En plus, cette étude démontre l’importance de la connaissance professionnelle, caracterisée par la connaissance scientifique, contextuelle et réflexive, comme condition pour qu’un travailleur puisse construire une identité professionnelle stabilisée. Moyennant l’impossibilité que l’individu ne construise une identité au travail stabilisée à cause de la précarité de la reconnaissance au travail, on s’aperçoit de la difficulté que le professionnel trouve pour gagner de la visibilité et pour construire la connaissance professionnel dans les relations de travail. Ladite difficulté tend à compromettre la construction de l’identité professionnel. |