A experiência na e pela língua(gem) em testemunhos de povos ameríndios : a instauração de lugares enunciativos

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2014
Autor(a) principal: Azevedo, Adelia Maria Evangelista
Orientador(a): Flores, Valdir do Nascimento
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Palavras-chave em Inglês:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/114427
Resumo: La thèse «L’expérience dans et par la langue(langage) dans les témoignages des peuples amérindiens: l’instauration de lieux énonciatifs» propose de comprendre les lieux occupés par des sujets lorsque l’appropriation de la langue(langage), dans la situation de communication, de réalisation de l’Épreuve de Rédaction – Test d’accès à l’université pour les étudiants indigènes – 2012/COPERSE – UFRGS. Pour le parcours théorique de la thèse, nous avons faits des incursions aux idées de William D. Whitney et de Ferdinand de Saussure, principalement, en ce qui concerne la genèse des principes généraux de la Linguistique moderne, étant donné la nature du biais anthropologique inscrit dans les concepts de langue, liés aux faits humains. Le biais anthropologique de la Linguistique suit par les développements épistémologiques produits par Émile Benveniste, à travers l’étude des catégories de personnes, de temps et d’espace. Le linguiste français est dédié aux questions de signification dans et par le langage, dans l’interface entre la Linguistique et les autres sciences, en faveur de la Science générale de l’homme, afin de clarifier des problèmes de langue et de langage. En outre, il inaugure la Sémantique de la phrase, dans une époque où les linguistes se dédiaient à la Sémiotique. Les lectures théoriques basées sur les fondamentaux de l’énonciation, à la lumière des idées de Benveniste, et l’expérience de lecture des textes, produits par des indigènes, cela nous a donné la possibilité de penser sur une hypothèse pour la thèse: il y a un mode distinct d’écriture de la langue portugaise pour les peuples amérindiens. Pour la prouver, nous passons par la définition de culture; de forme et de sens dans la langue; nous nous tournons vers les concepts de trace, d’énonciation et de référence. Nous nous guidons dans le parcours théorique et méthodologique à partir de deux entrées dans la langue. La première entrée se fait par le locuteur à travers l’énonciation; et la seconde entrée concerne le chemin inverse à être parcouru par le linguiste lorsque l’analyse de temoignages résultants de l’usage de la langue vivante par les sujets. Nous avons choisi une production textuelle représentative, puisque la rédaction remplit les conditions nécessaires aux procédures de coupures d’analyses des témoignages des expériences de langue(langage) des peuples amérindiens. Les analyses des témoignages à partir des marques (inter)subjectives dans le langage indiquent l’existence de traces et des références dans et par la langue(langage). Ceux-ci sont des phénomènes responsables des mouvements de rétrospection et de prospection qui sont au coeur de l’énonciation, lorsque l’appropriation de la langue(langage) par le locuteur. Le passage de langue à discours fait ressortir le sujet hétérogène. Celui-ci est né de l’énonciation écrite, en L2, en langue portugaise, étant donné la nature de la langue dans la constitution du «je» et de l’instaurer par le rapport avec le «tu». Pour la lecture des «données», nous considérons les symbolismes résultants du perspectivisme des peuples amérindiens, en L1, langue maternelle. En confirmant ainsi l’existence d’une langue portugaise singulière, avec syntaxe et sémantique propre, dont les origines sont dans la diversité de la situation de communication. Nous sommes intéressés par l’étude des significations produites dans l’énonciation écrite des peuples amérindiens lorsque la diversité des relations interlocutives vécues en société.