Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2015 |
Autor(a) principal: |
Tonetto, Fernanda Figueira |
Orientador(a): |
Azevedo, Tupinamba Pinto de |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/196948
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Resumo: |
Cette étude analyse l'évolution de la criminalité d’auprès une hypothèse sociologique durkheimienne, selon lequel la criminalité est constante, bien aussi d’auprès de l’oeuvre de Immanuel Kant, notamment de sa philosophie politique, dans le sens que les transgressions de l'homme sont importants pour l'évolution de l'humanité. Cette affirmation est vue ici comme une éventualitée qui a été imposée à l’État-nation, tout au long de l'histoire, en déterminant à celle-ci la perte progressive du monopole du droit de punir, comme conséquence de l'évolution d'une telle criminalité qui ne se limite plus aux frontières territoriales d’État. À cet égard, deux phénomènes peuvent être observés: la transnationalisation de la criminalité et la commission de crimes internationaux. D'un côté, la transnationalisation a promu le rapprochement des États nationaux en vue de renforcer leurs relations grâce à la coopération pénale internationale, permettant, ainsi, une approximation à l’idéal kantien de jus gentium. D'autre part, la commission de plus en plus fréquentes de graves violations des droits de l'homme au sein de ces États a démontré l'existence d'une catégorie diverse d'infractions et que la morale lésée par ce metavalor n’appartenaient pas seulement à la victime ou à l'État, mais à toute l'humanité. Ce dernier aspect a permis l’attribution de compétence et légitimité à leur jugement par une Cour Internationale, qui est le germe d'une juridiction pénale internationale permanente, vers la proposition formulée par Kant, dont le but principal est de comprendre que l'humanité évolue jusqu’à la construction d'un ordre cosmopolite, qu'il a appelé jus cosmopolicticum. |