Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2019 |
Autor(a) principal: |
Kolodny, Rossana Saute |
Orientador(a): |
Schwindt, Luiz Carlos da Silva |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/199462
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Resumo: |
Le genre grammatical est une catégorie qui requiert concordance des éléments qui sont dans les limites du syntagme nominal et qui peut être manifestée dans plusieurs formes selon la typologie de la langue, en considérant que ni toutes les langues ont du genre grammatical, mais celles qui le possèdent sont un système qui a deux genres au minimum. Le français est une langue caractérisée par un système formel d’attribution de genre (CORBETT, 1991), ainsi, elle a le genre lié à des marques formelles, notamment phonologiques et morphologiques. Ce travail-ci est un étude du marquage de genre en français par l’intermédiaire de révision bibliographique et de l’analyse quantitative de données de parole issues d’un corpus de langue orale – le Corpus de Français Parlé Parisien des années 2000 (CFPP 2000). Le français comporte deux genres: masculine (non marqué) et féminine (marqué). Ce dernier se caractérise par un ajout suffixal et/ou phonologique à la base masculine, en étant um phénomène au moins en partie dérivationnel (Mel'Čuk, 2000; RIEGEL et al., 2014), bien qu’il ait des caractéristiques flexionnelles, telles que la concordance obligatoire de ses circonstants. La méthodologie expérimentale du travail se base sur la récolte de données de l’oral et de l’analyse des résultats divisés par catégories formelles et sémantiques, desquelles se soulignent: distribution d’application générale, segment terminal, dérivation, typologie de genre, correspondance avec du sexe et animacité. Tous ces facteurs révèlent corrélation entre eux. Les résultats indiquent la prédominance du genre masculin en termes d’application générale et de correspondance avec du sexe et animacité Néanmoins, en ce qui concerne l’aspect formel, le segment phonologique qui s’est avéré plus fréquent – /e/ – est principalement féminin. À partir des résultats, nous avons fait des hypothèses sur la nature du segment /e/ (s’il correspond ou pas à une possible classe thématique), en atteignant l’analyse de la voyelle qui se réalise, parfois, comme un schwa en français, comme un indice de la présence d’une voyelle thématique dans la langue. |