Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2025 |
Autor(a) principal: |
Pasqualin, Vinicius Cardoso |
Orientador(a): |
Franco, Sérgio Roberto Kieling |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/289474
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Resumo: |
Cette thèse examine les dynamiques de pouvoir impliquées dans la mise en œuvre de la loi 13.935/2019, qui établit la prestation de services de psychologie et d’assistance sociale dans les réseaux publics d’éducation de base. L’objectif principal de la recherche est d’analyser comment la présence et les pratiques des professionnels de la psychologie dans les espaces éducatifs peuvent contribuer à la transformation des logiques hégémoniques qui façonnent les relations sociales dans le contexte de l’inclusion scolaire. À partir de cet objectif général, les objectifs spécifiques suivants ont été définis : (1) identifier et décrire les pratiques et stratégies adoptées par les psychologues pour promouvoir la transformation ou le maintien de ces logiques dans les environnements éducatifs ; (2) examiner les effets des interventions psychologiques dans la promotion d’un environnement plus inclusif, respectueux et exempt de discrimination, en tenant compte des relations sociales entre élèves, enseignants et autres professionnels; et (3) analyser les obstacles et défis auxquels les psychologues sont confrontés lorsqu’ils cherchent à transformer ces logiques hégémoniques et à renforcer l’inclusion scolaire. La méthodologie adoptée combine narrativité, textes-fragments, analyse documentaire et journal de bord, avec une approche cartographique. Cette recherche s’appuie sur des auteurs tels qu’Antônio Bispo dos Santos, Walter Benjamin, Deleuze et Foucault pour approfondir la compréhension des dynamiques de pouvoir associées à l’action de la psychologie dans l’éducation. Au cours de l’étude, une «quatrième entrée» de la psychologie dans l’éducation a été identifiée, stimulée par la mise en œuvre de la loi 13.935/2019. L’analyse met en lumière le rôle fondamental de la psychologie scolaire dans la déconstruction des pratiques normatives et la promotion d’un environnement éducatif plus inclusif et respectueux. À travers des réseaux de soins, des formations pour éducateurs et des matériels pédagogiques, la psychologie scolaire se présente comme un champ de résistance, promouvant des pratiques qui défient les logiques hégémoniques. Cependant, l’étude souligne également des défis majeurs, tels que les résistances culturelles, les limitations structurelles et les tensions épistémologiques qui freinent le renforcement du rôle des psychologues dans l’éducation. En particulier, elle met en garde contre le risque d’un processus de médicalisation des subjectivités dans le contexte scolaire, résultant d’un manque d’investissements adéquats dans les politiques publiques. En conclusion, la psychologie, lorsqu’elle intervient dans les espaces éducatifs, a le potentiel de reconfigurer les relations sociales, en valorisant les diversités et en promouvant les droits humains. Néanmoins, pour consolider ces avancées, il est essentiel de renforcer les politiques publiques garantissant la présence stable et la performance qualifiée de ces professionnels dans les écoles, ainsi que de favoriser la collaboration entre psychologues, autres catégories professionnelles et entités représentatives. Cette étude réaffirme la psychologie scolaire comme un domaine essentiel pour la transformation sociale. |