Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2017 |
Autor(a) principal: |
Jorge, Bianca Czarnobai de |
Orientador(a): |
Milano, Luiza Ely |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/172959
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Resumo: |
Réfléchir sur la traduction à partir des Études du Langage n’est pas une pratique ordinaire entre traducteurs et intéressés en traduction, du moins en ce qui concerne les questions derrière les dénominations et les processus bien explorés par la Traductologie. Quelle serait la question qui est impliquée dans la traduction presque indiscutablement ? On croit que c’est la différence - entre langues, entre manières de dire, entre inventaires phonologiques et entre communautés parlantes. C’est pour considérer ces différences comme fondamentales que nous nous tournons vers l’héritage linguistique de Ferdinand de Saussure : en considérant les langues comme différentes expressions particulières et propres du système de la langue, la différence devient explicite et tangible. Pour cette raison, on explore de quelle manière la notion de signe – en considérant le signe comme représentant des unités de chaque système – les relations qui le constituent et les valeurs qui permettent sa vérification dans l’usage des sujets parlants aident le traducteur, soit-il expérimenté ou en formation, pendant le processus de traduction. Quand on tient compte de la différence comme un constitutif de la langue et de la traduction, chaque choix est fait, en même temps, plus librement et de manière plus précise, en percevant ce qui a été fait dans un système et en se demandant comment pourrait-on faire quelque chose de ressemblante – et différente – dans un autre. Une des meilleures manières d’approcher ces questions est à travers la manipulation – et la traduction – des éléments phoniques de la langue, car ils vérifient les concepts saussuriens en même temps qu’ils se montrent l’une des plus grandes difficultés affrontées par les traducteurs. Pour cette raison, observer différentes expressions linguistiques traduites – le discours symptomatique, la poésie et la prose avec des éléments de la frontière des langues – se montre une analyse avantageuse et didactique qui procure au traducteur et à l’intéressé en traduction une visibilité plus grande de la relation entre les valeurs et les signifiés des différents systèmes linguistiques. |