Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2016 |
Autor(a) principal: |
Menk, Tomás Farcic |
Orientador(a): |
Pertille, José Pinheiro |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/149529
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Resumo: |
Cette thèse propose étudier le passage entre la Science de la Logique et la Philosophie de la Nature sur le contexte de l'Encyclopédie des Sciences Philosophiques de 1830 et de la Science de la Logique de Hegel. Étant donné les plusieurs possibilités interprétatives de ce passage, on argumente qu'il existe une structure logique-métaphysique dont permet la connaissance de la nature en tant que science. À cette fin, on démontre que : 1 - La logique hégélienne a un double aspect, en tant que (la) logique [die Logik] et comme (le) logique [das Logische], logique celui qui se manifeste comme un discours spéculatif. 2 - Le logique, en tant que discours spéculatif, révèle logicité propre du naturel et l’unifie avec la logicité du penser. 3 – On oppose notre lecture à la lecture non-métaphysique de Hegel, qui nie le besoin d'une logique métaphysique pour comprendre la nature systématique du naturelle. En bref, ce travail est destiné à démontrer qu'il est possible de penser le naturel d'une façon aprioristique (ou métaphasique) sans que cela configure une projection ou adaptation du naturel au penser, mais aussi, une ampliation des déterminations du penser vers les choses naturelles. |