Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2024 |
Autor(a) principal: |
Lima, Karoline Gonçalves de |
Orientador(a): |
Schmidt, Rita Terezinha |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/278631
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Resumo: |
Le présent ouvrage analyse, à partir d’une perspective théorique-critique féministe, les personnages qui composent les oeuvres littéraires Insubmissas Lágrimas de mulheres (2016) et Olhos d’água (2020), de l’écrivaine brésilienne Conceição Evaristo, et réfléchit sur la littérature noire-brésilienne féminine comme une ressource artistique et culturelle insurgée et un puissant outil de résistance et d’opposition aux diverses formes de subalternisation et de silence de voix noires dans la société contemporaine. La recherche vise à diffuser et à contribuer aux réflexions théoriques et littéraires sur la pensée critique concernant la pertinence et l’authenticité de l’écriture des femmes noires, en corroborant avec la construction de connaissances, des souvenirs et des scénarios de lutte et de résistance présents dans les histoires des personnages d’Evaristo, marqués socialement par les profondes blessures générées par les processus de colonialité. Les objectifs spécifiques sont d'analyser la représentation des femmes noires à travers la violence de genre, de race et de classe subie par les personnages d'Evaristo. Comme corpus d’analyse, on met en évidence, dans cette étude, les personnages “Ana Davenga”, “Maria”, “Zaíta” et “Natalina", protagonistes des contes de Olhos d’água, et “Natalina Soledad”, “Maria do Rosário Imaculada dos Santos”, “Isaltina Campo Belo” et “Rose Dusreis”, voix présentes dans Insubmissas lágrimas de mulheres. Pour ce faire, ce travail prend en compte les études de genre, sous le biais de l’intersectionnalité, en vue également d’études directement liées aux conséquences des colonialités (du pouvoir, de l’être, du savoir et du genre/de la race) à travers de théoriciens féministes telles qu’Angela Davis, Aníbal Quijano, bell hooks, Carla Akotirene, Grada Kilomba, Kimberlé Crenshaw, Lélia Gonzalez, María Lugones, Patricia Hill Collins, Sueli Carneiro, entre autres voix ancrées dans les savoirs contre-hégémoniques et décoloniaux. |