Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2008 |
Autor(a) principal: |
Melo, Nildo Aparecido de [UNESP] |
Orientador(a): |
Não Informado pela instituição |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Universidade Estadual Paulista (Unesp)
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/11449/89796
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Resumo: |
Au début des années 1970, le modèle de développement fordiste est entré en crise, ce qui déclenche un mouvement de restructuration du capitalisme vers la reprise du processus d’ accumulation et de reproduction du capital. La transformation structurelle du capitalisme d’ importants éléments du mode de production, en particulier imprégné par la mondialisation économique et financière, l ’ avènement de la Troisième Révolution Industrielle et de la Tecnologie et l ’ hégémonie de politiques néolibérales sans restriction de la liberté du marché, engendrant le redimensionnement du processus de production et réorganisation du travail dans la production ainsi comme que la crise dans le monde du travail. Au Brésil, l’ adoption de politiques neoliberales par le Président Fernando Collor de Mello et d’ approfondir les deux termes du Président Fernando Henrique Cardoso, mettre fin au processus historique de formalisation des relations de travail, qu’il a commencé dans les années 1930 sous le gouvernement de Getúlio Vargas. Grâce à un ensemble de mesures macro-économiques mises en place au cours de la décennie de 1990, telles que l ’ ouverture des échanges et des finances, la privatisation et l ’ octroi des enterprises d’ Etat et de la Réforme de l ’ Etat National, le néolibéralisme a causé la détérioration du monde du travail, avec la la montée du chômage, le caractère informel du travail et la précarité des conditions. |