Dar não dói, o que dói é resistir: o grupo de teatro Tá na Rua entre memórias, imagens e histórias

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2012
Autor(a) principal: Perini, Lígia Gomes
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Uberlândia
BR
Programa de Pós-graduação em História
Ciências Humanas
UFU
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://repositorio.ufu.br/handle/123456789/16412
https://doi.org/10.14393/ufu.di.2012.134
https://doi.org/10.14393/ufu.di.2012.135
Resumo: En partant de l hypothèse centrale de ce travail, que Dar não dói, o que dói é resistir selon le groupe Tá na Rua, qui a cherché à construire une mémoire de soi, en associant son image à un ―théâtre sans architecture, une dramaturgie sans littérature ou un acteur sans rôle‖, nous avons analysé que Tá na Rua a assimilé son apparition à la période historique de dictature militaire. Pour autant, nous démontrons que tout pendant que le groupe s était placé comme avant-gardiste, comme pionnier dans un théâtre réalisé à lextérieur, cela a été un mouvement caractéristique des années 1960-1970 au Brésil et dans le monde. Nous avons de même examiné quelle image d Amir Haddad fut créée par lui-même, par les acteurs de Tá na Rua et par les médias. Les réflexions mirent en lumière la conception, l élaboration et les représentations de Dar não dói, o que dói é resistir avec l objectif de problématiser les versions du groupe comme un théâtre libre, spontané, dans lequel il n y a pas de rôles définis pour chaque acteur et ouvert à la participation du public. Certains que les documents produits par le groupe-même sont des indices de son histoire, nous avons ensuite feuilleté les matières journalistiques au travers desquelles nous pouvons saisir comment le public, spécialement les journalistes, perçoit le groupe et comment il peut aider à consolider une place pour le groupe dans le contexte théâtral brésilien.