A estética do vil: pensando a canção, do Brasil. Tatit, Wisnik e o fim da canção

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2019
Autor(a) principal: Ferraz, Ivan De Bruyn [UNIFESP]
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de São Paulo (UNIFESP)
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://sucupira.capes.gov.br/sucupira/public/consultas/coleta/trabalhoConclusao/viewTrabalhoConclusao.jsf?popup=true&id_trabalho=7659657
https://repositorio.unifesp.br/handle/11600/59363
Resumo: L’objectif de ce travail est de réfléchir sur la place que peut occuper aujourd’hui une pensée esthétique sur la chanson; en particulier au Brésil. Pour ce faire, nous commençons par analyser ce que l’on comprend par "musique populaire", nous passons en revue quelques aspects pertinents de cette aproche à partir de la pensée académique et, particulièrement dans le domaine de l’esthétique, nous présentons les conceptions de deux philosophes américains – Richard Shusterman et Theodore Gracyk – à ce propos. Ensuite, en ce qui concerne la situation au Brésil, nous avons essayé de vérifier comment les questions soulevées par ces penseurs, ainsi que des éléments de la scène générale décrite précédemment, s’appliqueraient – ou pas – au panorama national. Enfin, pour explorer les spécificités de ce dernier, nous avons choisi comme objet d'analyse privilégié les productions de José Miguel Wisnik et de Luiz Tatit, à la fois du point de vue académique - où ils sont généralement reconnus comme des grands précurseurs et influenceurs des études sur la chanson – et du point de vue musical – en particulier celui présentée par eux dans le spectacle disponible en DVD O fim da canção (La fin de la chanson), conscients que le croisement même entre la pensée sur la chanson et la chanson qui pense constitue, après tout, l’une de ces spécificités; encore plus pertinent ici à cause du titre choisi – bien que astucieusement – pour la présentation commune: une référence, précisément, au débat sur la crise de la place ocupée par une certaine tradition de la chanson nationale – dont les mérites esthétiques sont largement reconnus – au début du 21ème siècle.