O conceito de justiça segundo Platão à luz da problemática Nómos X Phýsis nos livros I-IV da República

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2012
Autor(a) principal: Rufino, Emmanoel de Almeida
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal da Paraí­ba
BR
Filosofia
Programa de Pós Graduação em Filosofia
UFPB
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://repositorio.ufpb.br/jspui/handle/tede/5633
Resumo: Le thème de la justice est la pierre angulaire du projet théorique dans la République de Platon. Dans ce travail, la compréhension de ce qu'est la justice et de la façon dont il devrait se manifester par rapport individu-pólis (369e) est le fondement de toute une philosophie qui vise à la réalisation de la vérité concernant le beau, le noble et juste. Et pour cette raison, de tels problèmes ont commencé le dialogue platonicien. Cependant, l'analyse de la notion de justice - concentré entre les livres I et IV de la République - nous conduit inévitablement au problème nómos-phýsis, qui sous-tend les arguments discutés dans le dialogue, ce qui nécessite une réflexion approfondie sur les divers autres problèmes inhérents au pensée grecque éthique et politique. En fait, pour commencer proposer leur modèle de Politeia, Platon doit répondre aux questions ouvertes par cette loi ou la nature des problèmes, dont l'un est le fondement qui donne une légitimité à l'exercice du pouvoir, l'élaboration des lois, la pratique de la justice? Sur le plan juridique, cette question porte sur la question du naturalisme-positivisme juridique, au plan éthique, la relation entre l'autonomie-hétéronomie dans la relation entre l'individu et la polis. Dans la République, Platon rachet la totalité de la tradition qui anticipe le dialogue avec la pensée politique de son temps, à travers les arguments de Socrate envers leurs interlocuteurs dans le dialogue. Pour répondre à ce problème et expliquer sa conception de la justice, Platon étudie la nature de projection dikaiosýne - en même temps - le rôle de la physis par rapport à nómos et vice-versa. En d'autres termes, pour montrer que ces pôles ont la prééminence sur la justice, le philosophe cherchera à connaître la nature de celui-ci, l'analyse de la légitimité de l'expression de la nomothétique même et son application correcte, en vue d'une juste vraiment pólis. Ainsi, Plato s engagerá avec l analyses ontologiques et gnoséologiques pour ne pas mentionner la conception de la paideia - qui articulent du Livre II. Pour contempler cette recherche, notre étude présentera le développement des conceptions de la justice, nómos et phýsis dans la tradition de la pensée grecque, puis comprendre comment ces éléments entrent dans la philosophie platonicienne politique. Analyser donc les racines du problème nómos-phýsis de la pré-platonicienne sens de ces concepts, entrecoupées de justice, qui, à son tour, traversez la tradition mythique archaïque, l'avènement de la pólis, l'épanouissement de la philosophie présocratique prend de l'importance à la lumière du mouvement sophistique, dont la lecture de la question nómos-physis est tendue, pas unilatérale, comme beaucoup voudraient nous le faire croire les manuels. L'axe de ce travail est enraciné, donc la pertinence de la question nómosphysis a en comprendre l'argument platonicien de la justice. Compte tenu de tout cela, va ouvrir certaines hypothèses qui cherchent à défendre: non seulement vislumbraremos l'inhomogénéité de la compréhension des sophistes sur le problème, comment pouvons-nous obtenir la conclusion que Platon est (oui) un idéaliste, mais tout à fait pragmatique. En plaçant la justice et donc les nómos sur le critère de la phýsis, nous constatons que de plus décisif, c'est que - à la portée de la vraie justice - la portée du suprasensible, la philosophie platonicienne ne se termine pas dans le monde des idées, des partie sensible - le monde pratique - et y revient.