A excelência guerreira do herói clássico

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2012
Autor(a) principal: Albertim, Alcione Lucena de
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal da Paraí­ba
BR
Letras
Programa de Pós-Graduação em Letras
UFPB
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://repositorio.ufpb.br/jspui/handle/tede/6241
Resumo: La proposition de ce travail est d analyser l excellence guerrière du héros classique, qui concerne à « areté » dans le monde grec, et à « virtus » dans le monde latin. Le corpus à rechercher est l Éneide, de Virgile, cependant, nous ferrons une étude préliminaire sur le héros classique, en traçant son profil et en analysant les caractéristiques qui le composent. À cette fin, nous établirons une étude comparative à propos du processus de formation de celui que nous considérons le premier héros, Zeus, ainsi comme d autres grands héros, à savoir, Héraclès, Achille et Énée, afin d identifier les similitudes et les différences dans les étapes constitutives de ce processus de formation. Outre l Éneide, nous prendrons aussi comme base pour cette étude l Iliade, Le bouclier d'Héraclès, Théogonie et Les Travaux et les Jours. Nous verrons que « areté » et « virtus » expriment une valeur semblable, l excellence guerrière du héros, pourtant elles se configurent de façon différente. Nous montrerons, à partir de l analyse étymologique des mots, que les deux valeurs parcourent des chemins distincts pour arriver au sens guerrier qui leur est attribuée. Après cette discussion, nous procéderons à l étude la plus précise du corpus proposé, en analysant la « virtus » d Énée à partir de la structure binaire du poème proposé pour nous, qui a dans le VIe livre sa ligne de démarcation, où se produit la « katábasis » du héros, qui nous considérons sa « belle mort » symbolique.