A Charge como prática discursiva de resistência no governo Lula

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2011
Autor(a) principal: Cruz, Adriano
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal da Paraíba
Brasil
Letras
Programa de Pós-Graduação em Letras
UFPB
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://repositorio.ufpb.br/jspui/handle/tede/8265
Resumo: Au début du premier gouvernement Lula, les pratiques néolibérales étaient en vigueur dans la société. L‟alignement du PT et du président à cette politique-économique, héritage du gouvernement précédent, a déclenché une série de polémiques, critiques et mouvements. à ce moment, des économistes et activistes dénonçaient l‟hégémonie du discours néolibérale dans la presse. Cette thèse traite comment s‟ont construit les effets de sens produits par la caricature dans le milieu de ces conditions de production. En prenant l‟hypothèse que le discours des journaux s‟aligne discursivement sur la politique néolibérale, nous cherchons à comprendre comment la caricature dans la presse réagit devant cette tension. Notre argumentation défend que la caricature se comporte comme une pratique discursive de résistance dans le journalisme. Notre objectif sera de montrer comment se déroule ce déplacement discursif et quels éléments socio-historiques ont permis cette attitude idéologique. La recherche repose sur la ligne française d‟Analyses du Discours depuis le geste du fondateur Michel Pêcheux, les contributions suivantes de Michel Foucault, et les études brésiliens. Le corpus est composé par les dessins de presse et autres textes de trois journaux de capitales du Nord-est. Nous concluons que les caricaturistes ont construit une mémoire carnavalisée de l‟histoire récente du Brésil. Enfin, nous comprenons le journalisme comme un lieu de chocs discursifs donc ouvert à hétérogénéité et aux jeux de pouvoir et de résistance.