Enraizamento discursivo
Ano de defesa: | 2013 |
---|---|
Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Tese |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Minas Gerais
UFMG |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
|
Departamento: |
Não Informado pela instituição
|
País: |
Não Informado pela instituição
|
Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://hdl.handle.net/1843/MGSS-9HSNJ3 |
Resumo: | En prenant le discours comme un objet d´étude dans une théorie de l´analyse, nous percevons qu´il faudrait faire un pas en arrière par rapport aux orientations théoriques déjà consolidées pour, au-delà de les réunir, établir plus clairement la voie que nous avons choisi parcourir. Nous comprenons que tout le discours a une composition, similaire au classique «début, milieu et fin», cependant, dans le cas des discours, cette composition varie en fonction de l´endroit où le discours se nourrit. Parler de nutrition du discours peut sembler étrange, mais il existe une idée qu´il y a quelque chose dans les discours que, selon sa composition, les renouvelle. Ainsi, à propos du discours, c´est son configuration et ce qui le nourrit à se renouveler qui nous intéresse en ce moment. Le résultat de cette inquiétude a donné l´origine au terme, candidat au concept: Enracinement discursif. La recherche est basée sur le principe que l´organisation du discours est établie en certains niveaux à travers des certaines relations. Ainsi, l´origine des manifestations discursives n´est pas notre préoccupation, mais la logique de l´Enracinement. L´Enracinement est un concept que nous formulerons visant révéler la façon dont le discours déclenche concepts, traverse la mémoire discursive et fonde des connaissances dont il devient également «responsable». La structure fondamentale de notre raisonnement résume à penser le discours comme une composition, dont nous avons nommé mimesis discursive; celle-là, à son tour, se compose dialectiquement par deux processus: de l´objectivation et de subjectivation. La tension générée dans la mimesis est ce que prenne plus attention, car elle montre un projet de mise à jour du discours, renouvelant sa composition et générant de nouveaux sens. Ce projet de nouvelle description, comme nous l´appelons, délimite une position génératrice de l´ ethos discursif, qui peut finalement Enraciner dans le discours. |