A dor escreve Duras: a dor, a letra e o feminino em Marguerite Duras
Ano de defesa: | 2015 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Tese |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Minas Gerais
UFMG |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://hdl.handle.net/1843/ECAP-9XHJWR |
Resumo: | L'oeuvre vaste de Marguerite Duras, qui transite entre la littérature et le cinéma, entre des récits autobiographiques, témoignage et fiction, expose la manire dont l'auteur traite le langage, l'écriture, manire dont nous pouvons nommer l'écriture féminine, cela veut dire, une écriture qui comporte et qui suppose au préalable des inachvements, des failles, un manque de linéarité, des trous et des vides. En accompagnant le mouvement durassien de réécriture, de répétition, de retour au point de la douleur, de la destruction, de la ruine, nous constatons l'intimité de l'auteur avec la douleur. Cette dernire, chez Duras, ouvre des cheminements, écrit, se déplie en amour, se dirige vers le vide du mot, de la lettre, creuse et par ce mouvement érige son propre bord, le réconfort de la propre douleur. Pour autant, c'est au sujet de la douleur qu'elle écrit, douleur dépliée en féminin, en amour, en lettre et son propre mouvement au sein de l'écriture durassienne qui se prétend réfléchie. |