Rompendo os vínculos, os caminhos do divórcio no Brasil: 1951-1977

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2010
Autor(a) principal: ALMEIDA, Maria Isabel de Moura lattes
Orientador(a): SANDES, Noé Freire lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Goiás
Programa de Pós-Graduação: Doutorado em História
Departamento: História
País: BR
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://repositorio.bc.ufg.br/tede/handle/tde/1233
Resumo: Cette enquête se propose d analyser les 26 années (1951-1977), qui ont témoigné du grand affrontement entre les opposants de l institution du divorce au Brésil, parmi lesquels l Eglise Catholique et les défenseurs de sa législation, parmi eux Nelson de Souza Carneiro. Celui-ci a pris toutes les initiatives nécéssaires pour retirer le príncipe de l indissolubilité du mariage de la Constitution Fédérale de 1951 a 1977, année pendant laquelle fut aprouvée la loi nº 6.515/77, appelée Loi du Divorce ou Loi Carneiro. Pendant trois décades (1950, 1960 et 1970), pour lutter éfficacement contre le divorce, l Eglise Catholique à reagi contre les idées modernes qui faisaient en sorte que le mariage perdait de sa rigidité devant l escalade de l individualisme et l apparition de la subjectivité qui de fait, peu à peu avaient um impact dans la vie quotidiénne et les expériences personnelles, réduisant á rien les notions traditionnelles de la famille et du mariage. Les signes des nouveaux comportements et des idées nouvelles peuvent être observés dans des proportions inédites de mobilisation em faveur du divorce, dans la deuxième moitié des anées soixante-dix, a travers des manifestations publiques débats dans la presse écrite et orale. L impact de cette polemique est arrivée jusqu au Parlement qui en pleine dictature militaire a vécu avec la question du divorce, des moments rares de présence et de participation populaire massive dans les couloirs. C était la première fois, depuis l édition de l Acte Constitutionnelle nº 5 que le Congrès votait librement, sens pression, ni imposition du Palais du Planalto. Le gouvernement autoritaire du Président Ernesto Geisel a laissé ouverte la question à la conscience des parlementaires. Ainsi il a crée les conditions nécéssaires pour l approbation du divorce. L Église Catholique a été dans l obligation d accepter, malgré de véhémentes protestations, le dur coup qui a détruit la cohabitation politique qui pendant longtemps avait mis à l écart le divorce de la société brésiliénne