Presença de Agostinho na tese de Tomás de Aquino sobre o conhecimento humano: a primeira parte da suma de teologia

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2012
Autor(a) principal: Berger, André de Deus
Orientador(a): Oliveira, Carlos Eduardo de lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de São Carlos
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Filosofia - PPGFil
Departamento: Não Informado pela instituição
País: BR
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: https://repositorio.ufscar.br/handle/ufscar/4872
Resumo: On essaye ici d esquisser comment Thomas d Aquin propose interpréter la philosophie d Augustin pendant il présente sa théorie de la connaissance humaine dans la première partie de la Somme de théologie. La dispute de laquelle découle cette théorie thomasienne a son origine dans des diverses interprétations de la Physique et de la Métaphysique d Aristote introduites par des neufs traductions de ces textes qui ont été produites à partir du XIIème siècle chez l Europe. On se demandait alors sur la possibilité de la connaissance intellectuelle du sensible au même temps qu on poursuivait le problème de savoir s il est possible de soutenir l existence d une relation entre des choses qu existent de façons diverses, à savoir, l intellect de l homme, lequel est quelque chose d immatériel et prédisposé à la universalité, et les sensibles, lesquels sont appréhendés par les sens comme choses matérielles et singulières. Dans sa réponse, Thomas d Aquin offre la thèse selon laquelle c est possible pour l intellect de l homme, lequel, si bien que sans matière, est aussi uni avec un corps matériel et singulier, connaitre les natures (immatérielles et universelles) des choses sensibles (matérielles et singulières). Selon Thomas, la connaissance humaine a son début avec la réception des formes des choses matérielles, laquelle se déroule suivant deux étapes diverses selon lesquelles nous avons, en premier lieu, la appréhension du « sensible » et, puis, la appréhension du « intelligible ». C est la majeure ou la mineure proximité de la matière qui serait la plus important mesure de cette distinction : la connaissance sensible c est l appréhension des choses matérielles par moyen de la modification des organes du corps et travers laquelle la forme est appréhendée mélangée avec la matière. La connaissance intellectuelle, cependant, ne s utilise pas de aucun organe corporel et, par conséquence, est absolument immatérielle. Dans cette thèse on présuppose la nécessité de l existence d une relation entre la connaissance sensible et la connaissance intellectuelle pour que la connaissance intellectuelle de la chose matérielle soit devenue possible. C est ainsi que, selon Thomas, les sens produisent dans le sujet qui connait une similitude sensible qui représente la chose matérielle avant que la forme intellectuelle de la chose soit elle-même produite. Cette similitude sensible serait le point de début de la production intellectuelle d une seconde similitude, intellectuelle, décrite par Thomas comme ce par quoi la nature de la chose matérielle est connue. La première similitude, sensible, a été appelée « phantasme », l autre, intellectuelle, l « espèce intelligible », et le producteur de celle-ci, l « intellect agent ». Dans ce travail on propose déchiffrer la fonction de chacun de ces éléments qui composent cette théorie de Thomas aussi comme les relations que cette argumentation soutienne maintenir avec la philosophie d Augustin. Dans ce procès, on verra d une façon surprenante l évêque d Hippone être présenté par Thomas comme un partisan d Aristote contraire à des thèses attribuées, dans une formulation très générale, bien à Platon (auquel Avicenne est ajouté), bien aux philosophes présocratiques.