Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2010 |
Autor(a) principal: |
Rocha, Eduardo |
Orientador(a): |
Fuao, Fernando Delfino de Freitas |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/24722
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Resumo: |
Penser les architectures de l'abandon dans contemporaneidade et fuir de la description au détriment de l'expérience. Tout au moyen de la cartographie sentimentale. Abandonner la centralité des certitudes de la matière, de la significação et du sujet, proposées dans les théories de l'architecture et de l'urbanisme, pour, de cette forme, s'ouvrir à l'art, à la philosophie et à la vie. Croiser des frontières, quelquefois, abandonner est oublier, renoncer, laisser quelque chose. Les architectures de l'abandon, avant toute chose, c'est un état, une condition, qui passent par la découverte des signes de l'abandon, soient eux des negativo-agressivos, positivo-amorosos, não-valorizados ou catastrophiques. Pour, finalement, démasquer que celui-là peut être une architecture de la liberté, de ce sans engagement, c'est-à-dire, de la fin et du commencement de l'architecture elle-même. Lire la ville à partir de leurs architectures et les espaces de l'abandon est regarder la vie nue et le pouvoir souverain joints, coexistentes. Tout chargé par les pouvoirs du profane et par la philosophie de la différence, violável, de de la mélancolie, de l'art contemporain. Nous avons déjà vu ce film, déjà visitons cette place, déjà sentons des calafrios à nous rencontrons avec les architectures de l'abandon. Maintenant c'est seul d'essayer ! |