Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2015 |
Autor(a) principal: |
Staudt, Sheila Katiane |
Orientador(a): |
Gomes, Gínia Maria de Oliveira |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/131536
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Resumo: |
Cette thèse vise à déchiffrer les représentations de la ville dans la fiction romanesque brésilienne du XXI e siècle. Les trois romans choisis comme corpus d’étude ou bien présentent des photographes comme protagonistes – tel est le cas de Satolep par Vitor Ramil et de O fotógrafo par Cristovão Tezza – ou bien revêtent la forme d’un véritable album de photos – comme dans Eles eram muitos cavalos par Luiz Ruffato. Un dialogue perpétuel entre littérature et photographie nous permet d’identifier aussi bien les analogies que les spécificités de leurs techniques de représentation. Les découpes du réel, appelées ici « portraits urbains », font en sorte que notre regard puisse s’élargir pour capter les aspects récurrents sur l’univers de la fiction brésilienne contemporaine, telles que la fragilité des relations interpersonnelles, les déplacements sur la ville, l'invisibilité humaine dans les centres urbains, etc. À cette fin, nous nous tournons vers les études sur la ville et la photographie par des théoriciens comme Kevin Lynch, Richard Sennett, Italo Calvino, Walter Benjamin, Zygmunt Bauman, Roland Barthes, Susan Sontag, parmi d’autres. C’est ainsi que nous sommes à même de mieux comprendre comment, dans ces récits, l'art de la photographie a été utilisée pour saisir les signes citadins enregistrés par l'art littéraire. |