Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2016 |
Autor(a) principal: |
Martins, Gabriel Villamil |
Orientador(a): |
Bordini, Maria da Glória |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/149545
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Resumo: |
En partant de considérations théoriques sur les genres littéraires en général et sur la poésie lyrique en particulier, le thème de la fuite du temps est examiné dans le poème « L’horloge », de Charles Baudelaire, ainsi que la condition sociale et intellectuelle de cet auteur à l’aube de la modernité européenne et de la transformation des relations de production littéraires pendant l’affirmation du capitalisme industriel et du Second Empire en France. Pour ce faire, les approches de l’anthropologie culturelle, de la sociologie, de la théorie de la littérature et d’une analyse du discours littéraire sont mises en oeuvre, tout comme les idées de Walter Benjamin et Colin Campbell sur la nature de l’expérience et du désir dans l’hédonisme moderne. Le poème de Charles Baudelaire reste un défi à l’interprétation univoque du sens de la fuite du temps à l’intérieur du nouvel ordre économique et social mis en place pendant les premières étapes de développement du capitalisme. |