Cartografia geográfica em questão : do chão, do alto, das representações

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2014
Autor(a) principal: Batista, Sinthia Cristina
Orientador(a): Suertegaray, Dirce Maria Antunes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Palavras-chave em Inglês:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/100294
Resumo: En cherchant à explorer la carte dans ses multiples déterminations, le mouvement de la pensée et de la recherche a conduit temporairement pour y penser à partir de la triade: langage, logique et médiation. Actuellement, traduite par le rapport : une « cartographie géographique » - conçue comme une langue qui organise, transmet et envisage une connaissance géographique, la méthode - basée sur la relation entre la logique formelle et matérielle de dévoilement dialectique et les aspects symboliques de la condition spatiale ( de la production / dans l’espace ) et la cartographie communautaire - le processus d'élaboration d' une série de cartes comme pertinentes pour la compréhension de la logique spatiale et appropriation de l'espace , en permettant la pratique de l'autonomie territoriale . Il s’agit d’une approche qui en partant de la théorie critique des représentations de Henri Lefebvre (2006) crispe la matérialisation de la symbolisation et de la production de l'espace sur les cartes, avec le bout d’atteindre la vie de l'espace de la triade espace perçu, conçu et vécu ainsi que des dimensions de sa production : les espaces de représentations, représentations de l'espace et de la pratique sociale. Cette proposition est réalisée dans un processus d’une cartographie communautaire, comprise comme un outil pour les communautés d'engagement (dans son sens de classe) à l'auto- gestion territoriale. Telle compréhension permet l'analyse critique des processus de cartographie participative qui aperçoivent l’élaboration / légitimation de politiques publiques dans un contexte politique qui favorise la participation populaire et les insèrent dans les « décisions prises » en incluant la possibilité de conflit et de lutte, toujours à la recherche d'un consensus pour tous les «secteurs» de la société. Le processus de recherche a permis de comprendre que la participation effective des populations dans les décisions au sujet de leurs propres exigences se fait à travers la lutte, à surmonter la contradiction forgée par le mode de production capitaliste de la condition humaine inégale d'être dans le monde, donc l'évaluation de processus historiques, les conflits, la continuité et les possibilités de la classe sociale. Cette proposition a lieu à partir de deux moments différents, toutefois liés entre eux : 1. La construction d'une pratique pédagogique pour la formation du géographe dont la cartographie géographique dans laquelle est une condition préalable pour le développement du raisonnement spatial, ainsi que pour la compréhension de la carte comme un produit social, qui forge et transmet les représentations de la société qui produit à partir d'une intentionnalité historiquement et spatialement déterminée. Revivifiée par la compréhension de la cartographie des processus que l'établissement des relations différentes entre la connaissance, la puissance et des représentations, ce qui en fait l'instrument de la lutte. 2. La production d'un mémoire sur l’Assentamento Roseli Nunes, au-delà de la compréhension de la carte comme outil de lutte se comporte comme la matérialisation de l'appropriation de l'espace quotidien, ainsi la possibilité de l'autonomie territoriale, en considérant son histoire et sa géographie. Ces moments, réalisés en praxis (en classe et dans le travail communautaire) ont fusionné et sont tombés d'accord que le processus de préparation et l'utilisation de cartes révèle des représentations subjectivisées engendrées objectivement, une pratique sociale qui produit de l'espace, mais aussi la médiation un discours sur la réalité étant objectivée. Par conséquent, la carte comme un instrument de lutte permet la compréhension et la perception d'une logique spatiale quotidienne donnée (comprise dans la relation entre les différentes échelles), tandis que la possibilité de réclamer des conditions objectives pour l'endurance dans l'espace et peut-être la possibilité de transformation sociale.