O labirinto textual : o filme como hipertexto : de São Bernardo a S. Bernardo

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2010
Autor(a) principal: Mainieri, Flavio Cesar Trindade
Orientador(a): Ponge, Robert Charles
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/26910
Resumo: Le travail questionne les origines du texte, qu'elles soient littéraires, filmiques ou théâtrales en tant que reproduction du monde, on cherche à identifier les éléments qui l‟indiquent comme un objet construit indépendamment de l'imitation des choses. Par conséquent, on fait appel aux notions d'intertextualité, transtextualité. On commence par le narrateur pour la caractérisation de la narration, qui s'appuie sur le récit du passé, d‟où l‟importance du rôle de la mémoire dans la reconstruction des événements, et pas sur ce qui s'est vraiment passé. La fiction ne se masque pas, mais se présente comme une fiction. L'objet de l'étude est la transposition de la littérature,le roman São Bernardo,de Graciliano Ramos, au film S. Bernardo de Leon Hirszman. Dire que l‟hypotexte, ou le film, est autonome, c'est-à-dire, producteur de signifiance, équivaut à admettre que l‟hypotexte, où le roman, ne fonctionne pas comme une moule qui lui donne une forme, ni détermine son signifié. Au passage, de nombreux éléments sont supprimés (excision), d'où la nécessité d'analyser chaque texte séparément. Dans l‟examen du problème de l'image cinématographique, on constate l‟origine théâtrale du cadre cinématographique, et le film en question, bien que possédant un hypotexte narratif, est marqué par des éléments théâtraux, confirmant, ainsi, son autonomie.