Arte e geo-educação : perspectivas virtuais

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2004
Autor(a) principal: Zordan, Paola
Orientador(a): Corazza, Sandra Mara
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/257726
Resumo: Ce travail trace le paysage de la géo-éducation, d'un plan virtuel créé de la doctrine du retour perpétuel de Nietzsche et de la géo-philosophie de Deleuze et de Guattari. Il s'agit de penser une éducation dont la pratique est faite dans les terms des arts, pour rendre possible une manière esthétique d'apprendre et d'enseigner les matières qui s'offrent à la vie. La géo-éducation trouve développer des maniéres de essayer les affections des peuples et celles des forces qui traversent la terre, surface où cette pratique se produit. Immanent aux forces chaotiques des devenirs de la terre, le plan de la géo-éducation est tracé dans des composites textuels, créés avec les concepts qui incorporent sa perspective: machine, surface, matière, mouvement, devenir, paysage, monument, événement, plan, peau, sensation, figure, corps, esquisses, horizon, ligne de furte, l'infini, multiplicité, chaos. Ce plan, construit conceptuellement pour disposer le problème des devenirs de l'art dans le domaine éducatif, est travaillé ensemble à la recherche typologique des modèles monstrueux. Il se poursuit par la problématization topologique des figures qui incorporent les variations stylistiques, actionnant une analyse cartographique des perspectives que les styles et les figures impliquent. La composition de ce plan fonctionne par l'effet pictural et la diffusion des variétés, des forces transversales qui tracent les devenirs de la recherche dans les figures esthétiques. Ces effets essayent apporter l'etrangeté dionysiaque, la génitalité de Venus, les transports mercuriales et la richesse abyssale d'un territoire de coupes et de chutes, à l'intérieur du texte. Les Dieus classiques (restes de la philologie nietzschéenne), les personages des cultes et des légendes, les accidents géographiques de paysages, comme le cerro de Jarau ou une des fissures de l'Aparados da Serra (figurations qu'ils avaient donné aux corps pour des êtres de sensation), animent vers le haut du plan de composition tracé pour cette thèse. L'abîme ltaimbezinho, la divinité diabolique des cultes afro-Brésiliens, l'Exu et la princesse maure qui est devenue la Teiniaguá, de la légende "gaúcha" Sallamanque du Jarau - ils fonctionnent comme paysages par où passent les forces interdites, qui crient pour le corporel, l'animalesque et la mort, puissances terriblement problématiques pour l'éducation. Joint à ces figures la thèse esquisse un territoire frontière impensable, informe; un territoire abyssal marqué pour ce que Deleuze appelle "ligne de sorcière" et qui identifie les limites stratégiques avec le pas-encore-créé. Il est essentiel d'essayer cette ligne de sorte que les procédés de création se produisent. Prouver la matière implique plonger dans le chaos et pour prendre des doses de déraison, ce que Nietzsche a expliqué par le "sens dionysiaque de l'art". Quoique la création ait comme objectif la définition d'une forme, c'est dans la dissolution d'une transe dionysiaque que la nature de la matière informe se montre, dont elle excède l'organisme et elle fait un plein corps, sans organes. Sans cette expérience radicale, du dépassement des bornes, on ne créé pas et on n'arrive pas à paire de l'art. Apprendre est se contagier avec les êtres de la sensation détachés par les matières d'un art. Rendre possible une éducation avec l'art, faire la géo-éducation, est détacher les matières de l'étude des sédimentations des disciplines de la connaissance, en prenant les matières comme expression des styles de pensée, jamais comme vérités.