"Se eu tirar o trabalho, sobra um cantinho que a gente foi deixando ali" : clínica de psicodinâmica do trabalho na atividade de docentes no ensino superior privado

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2012
Autor(a) principal: Perez, Karine Vanessa
Orientador(a): Merlo, Alvaro Roberto Crespo
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Palavras-chave em Inglês:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/70043
Resumo: Cette recherche vise à étudier les questions relatives à la santé mentale et le travail des professeurs, plus spécifiquement liés à l'expérience du plaisir et la souffrance au travail des professeurs dans les établissements d'enseignement supérieur (EES) privés. Dans le contexte actuel, on peut voir une expansion considérable des établissements d'enseignement supérieur et, par conséquent, une surcharge de travail qui reflète la santé physique et mentale des professionnels qui travaillent dans ce domaine. Théoriquement, cette recherche est fondée sur des hypothèses que parlent de la santé mentale et le travail dans les établissements d'enseignement supérieur privé d'enseignement. Elle est basé théorique et méthodologiquement dans la clinique de la psychodynamique du travail. La méthode qualitative a été utilisée, avec la réalisation d'entrevues individuelles semi-dirigées avec dix-huit professeurs des établissements d'enseignement supérieur privé. L'analyse des résultats a été mis au point avec des hypothèses de la psychodynamique du travail, mettant en évidence des très large journée de travail qui, souvent, envahit la vie à l'extérieur du travail, mettant en évidence leur frais généraux activités demandé, qui, en conséquence, compromet la santé physique et psychologique des enseignants. Pour éviter des souffrances et des maladies psychiques, les enseignants interrogés font usage des stratégies de promotion de la santé, parmi lesquels ont été mis en évidence les stratégies défensives qui favorisent le maintien de l'Organisation du travail et les stratégies qui stimulent la continuité du travail d'enseignement. De cette façon, il a été possible d'identifier ce qui a été le plus gros changement demander: conquête d'un espace pour discuter de questions relatives au travail; la distribution obligatoire de la journée de travail pour être compatible avec le temps de préparation de classes et d'activités scolaires; moins d'heures à travailler dans la salle de classe, afin de permettre le développement d'activités et notamment l'extension de la recherche et la qualification. On peut donc voir que le travail peut être reconnu par leur potentiel constitutive de l'émancipation, de la subjectivité et de l'identité, mais d'autre part lorsqu'il résume la vie des travailleurs, mais s'il n'y aucune expérimentation au-delà du travail, il devient aliénant et causant des souffrances. Cependant travail dans cette étude n'est pas seulement comprise comme le lieu de production de souffrance santé/maladies, mais surtout, l'espace de vie et de socialisation, où la subjectivité est appelée constament de se (re) configurer. Pour un changement dans ce contexte, il est nécessaire d'aller au delà de l'espace physique des IES et d'amener cette discussion sur la souffrance dans le travail de l'enseignement dans d'autres sphères, afin de faire une question d'intérêt public et ainsi construire des stratégies efficaces des politiques pour le bénefice de la santé des professeurs d'université.