Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2009 |
Autor(a) principal: |
Silva, Adriana Pozzani de La Vielle e |
Orientador(a): |
Indursky, Freda |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/28743
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Resumo: |
Cette Dissertation examine l’événement énonciatif, l’opacité et la contradiction inhérents au processus discursif de reformulation de livres, en mettant au point les rapports textuels qui sont établis tant par la circulation de nouveaux savoirs que par le jeu parmi répétition et différence, et mémoire et oubli. On prend comme un présupposé que « l’origine » de tel processus réside dans les exigences sociales imputées à un sujet que, en exerçant la fonction énonciative d’auteur, répond par « l’unité de sens » qui se présente, à lui et à la societé, en tant que « son » livre. On considère essentiellement que la production de l’édition revue ne peut pas d’être dissociée des conditions sociales et historiques dans lesquelles elle se constitue, une fois qu’elle ne résulte pas de la volonté exclusive (comme s’il s’agissait d’un entêtement) du sujet. Au contraire : cette production résulte d’un processus qu’implique un réseau social et historique des pratiques discursives à corroborer la reconfiguration du savoir, ce moyen par lequel la reformulation fomente la continuité d’une science donnée. L’absence de travaux sur ce thème (la spécificité de la reformulation de livres) en Analyse du Discours nous a conduit à dialoguer avec les points de vue théoriques les plus variés à fin de chercher des subsides pour la construction d’un moyen propre d’approche de notre objet de réflexion. Devant tout l’exposé ci-dessus, cette Dissertation se trouve divisée dans trois parties qui s’interpénètrent : dans la première partie on présente l’objet d’investigation, le point de vue pour l’aborder et quelques notions théoriques présupposées par la réflexion proprement dite. Dans la séconde partie on cherche des subsides dans des différents champs du savoir et on construit un dispositif théorique-analytique qui débouche tant sur la présentation de notre moyen d’approche, que sur quelques considérations sur la constitution du corpus. Finalement, dans la troisième partie on analyse en profondité le processus discursif qui nous a mobilisé et qui conduit à la conclusion de cette Recherche. Dans le coeur de la discussion, on met en question l’identité de l’édition revue. |