O projeto formativo de educação do campo do Movimento dos Atingidos por Barragens (MAB) no oeste e no sudoeste paranaense

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2015
Autor(a) principal: Rossetto, Edimar Rodrigo lattes
Orientador(a): Schlosser, Marli Terezinha Szumilo lattes
Banca de defesa: Antonio, Clésio Acilino lattes, Haracenko, Adélia Aparecida de Souza lattes
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Estadual do Oeste do Parana
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Geografia
Departamento: Produção do Espaço e Meio Ambiente
País: BR
Palavras-chave em Português:
MAB
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://tede.unioeste.br:8080/tede/handle/tede/58
Resumo: Actuellement, il est nécessaire de parler des mouvements sociaux ruraux, mais il faut préciser comment, où, quand et pourquoi ces articulations populaires se forment. Le Mouvement des personnes affectées par un barrage (MAB) est reconnu non seulement au Brésil, en raison de son ordre du jour principal de la lute principale qui se trouve dans la défense des droits des personnes touchées par les barrages, mais il est vu et souligné au niveau international, en particulier en Amérique latine. La zone étudiée, à savoir de l'Ouest et du Sud-Paraná, est considérée par certains théoriciens comme arrière-pays de l'Etat, en raison du fait que le processus d'occupation et de colonisation fut tardie. C‟est à partir de l'installation de la centrale hydroélectrique d'Itaipu (de UHI), que la population locale et régionale est atteinte, conduisant à la première articulation populaire contre les barrages, qui se consolide à partir pressions religieuses, précisement, la Commission pastorale de la terre (CPT-PR). En ce sens, la lutte des paysans expropriés contre Itaipu réaffirme et unifie les autres luttes, également provoquées par l'installation de centrales hydroélectriques de petite envergure. Par consequente, il fout comprendre la lutte de la Commission régionale des personnes affecteés par le barrage du bassin de la rivière Iguaçu (CRABI), qui a été consolidée dans les années 1990, en recevant le soutien des dirigeants sociaux qui ont combattu dans Itaipu et d'autres dirigeants d‟autresEtats de Fédération. Cette commission c‟est renforcée au détriment de l'expropriation des paysans et des villageois sont soumis, à partir de l'installation de la centrale hydroélectrique du Gouverneur José Richa plus connu sous le nom de centrale hydroélectrique de Salto Caxias, située sur la rivière Iguaçu, á la division entre les municipalités de Captaine Leonidas Marques ( rive droite) et la Nouva-Prata do Iguaçu (rive gauche). C‟est á partir de cet ensemble de luttes que le MAB est consolidé dans le soi-disant «arriere-pays de Paraná», se joigmant à un mouvement national contre les barrages,c‟est-à-dire le MAB national. Dans cette ligne d‟analyse, ce travail a pour objectif central de comprendre le rôle des dirigeants - de la lutte venant de Salto Caxias, a partir de la réinstallation des personnes expropriées dans la lutte pour l'éducation, avec la consolidation des écoles rurales dans le nouvel emplacement acquis par Companhia Paranaense de l'énergie électrique (de COPEL). Comme les établissements d'enseignement sont le résultat de la lutte des paysans et du MAB est inséré dans la lutte pour un projet formatif de l'éducation, axée sur les intérêts des communautés de la campagne comme mentionné ci-dessus, nous cherchons à comprendre comment le souvenir de la lute du mouvement social s‟insére dans le quotidien scolaire à travers un projet d'école vivante, conforme à la réalité de la campagne. En termes de méthodologie, la recherche bibliographique pour la jonction de la reférence théorique s‟est réalise dans les oeuvres, thèses, mémoires et monographies sur le sujet étudié. Mais le travail empirique a consisté dans la collecte de données dans le domaine de la recherche, soit, dans les deux écoles et au le Secrétariat du MAB régional de la ville de Francisco Beltrão / PR. Cette étape a été réalisée au moyen d'entrevues avec les enseignants, avec les dirigeants de l'école et du mouvement social. On a appliqué un questionnaire fermé de 12 questions faites à 50% des étudiants présents dans toutes les classes de l'école secondaire le jour de la visite dans les deux collèges. Dans le College de réinstallation saint François d'Assise, les questionnaires ont été appliquées le matin et les interviews le matin et l'après-midi. Alors que dans le College de réinstallation Saint-Marc, les questionnaires et les entretiens ont été appliquées le soir. La différence dans les périodes dans les quelles les questionnaires et les entretiens ont été appliquées dans les écoles est liée à l‟organisation des activités de chaque institution et de la fréquence du mouvement des enseignants et des responsables dans chaque institution. Enfin dans le département de mouvement, les dates de réalisation on varié en fonction de la disponibilité de chaque responsable d'accorder l'entrevue.