O imaginário filosófico em Nietzsche: a dialogicidade da obra Assim falava Zaratustra e a Bíblia

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2010
Autor(a) principal: Borges, Guilherme Figueira
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Uberlândia
BR
Programa de Pós-graduação em Estudos Linguísticos
Linguística Letras e Artes
UFU
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://repositorio.ufu.br/handle/123456789/15372
Resumo: Cette étude que nous vous présentons partira de la prémisse dont, selon Nietzsche (2005a, 2005b), il y a, dans la constitution du sujet, des envies de pouvoir qui crient en faisant entendre et en exigeant des réponses. De cette façon, l'étude que nous proposons lancera les yeux à l'oeuvre Ainsi Parlait Zarathoustra, de F.W. Nietzsche (1998, 2008a) pour décrire les relations dialogique-discursifs établies avec la Bible (1995). Nous cherchons, donc, de faire émerger les passages polyphoniques qui constituent l imaginaire philosophique nietzschéenne. Dans ce sens, nous considérons important de dire que les analyses seront balisées par des principes discursifs formulés par Foucault (1996) dans l oeuvre l'Ordre du Discours, à savoir: d'inversion, de discontinuité, de spécificité et d extériorité. Ainsi que la notion d'Epiméleia Heautoû (Souci de Soi), plus particulièrement dans les aspects suivants que lui sont constitutifs : la politique, le maître et la connaissance de soi. Il faut dire que le choix par les postulats de Foucault se justifie par deux raisons : 1º) Foucault se tourne vers des questions de fondation du sujet et de la subjectivité qui se révèlent dans une microphysique des relations sociales; 2º) étant donné que Foucault a été influencé surtout par la pensée nietzschéenne, en affirmant que l unique marque de reconnaissance qui se peut donner à une pensée, comme celle de Nietzsche, est précisément l'utiliser, le déformer, le faire grincer, crier (Foucault, 2006, p. 174). Les études de Nietzsche (2005b) ont cherché à montrer qu il n'a rien de naturel dans la fondation et l'emploi par le dire biblique et par la morale chrétienne. Donc, regarder la construction de dires comme le bien , le bon , le mal , la vertu , le prêtre , par exemple, révèlent volontés de pouvoir qui justifient son emploi dans une relation de domination, vu que tels termes ont été utilisés - et ils encore sont - pour justifier et faire valoir la servitude des sujets. Le dire biblique donc est utilisé pour causer la résignation et la confiance dans un le monde au-delà , cette confiance que devient la vie une place de privations et de travail. Les dires bibliques, se défend à la croyance dont c'est l élévation d'avoir des corps dociles. Nous rejaillissons néanmoins que, selon l'imaginaire nietzschéenne, le fait de nous venons d être inscrits dans des relations de pouvoir n'empêche pas qu'ait la possibilité du sujet instaurer des mouvements et des disloquements dans/par les fissures de l'histoire. En instaurant ainsi d autres ordres du discours qui présenteront d autres filets/relations de pouvoir. Révéler donc les volontés de pouvoir n'empêche pas qu'elles existent et beaucoup moins qu elles cessent d émerger, de circuler et de se déplacer dans la constitution des sujets.