Exportação concluída — 

Identidade, memória e autoficção em Une si longue lettre, de Mariama Bâ

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2021
Autor(a) principal: Paluma, Vânia Carolina Gonçalves
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Uberlândia
Brasil
Programa de Pós-graduação em Estudos Literários
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://repositorio.ufu.br/handle/123456789/31789
http://doi.org/10.14393/ufu.te.2021.264
Resumo: La thèse intitulé "Identité, memoire et auto-fiction en "Une si longue lettre" de Mariama Bâ", a eu pour but d’étudier l’ ouvrage "Une si longue lettre" (1979), de l'auteure sénégalaise, sous la perspective d'un regard d’auteure féminine sur la société africaine. Les questions culturelles, ainsi que les différents aspects sociaux relatifs aux femmes, qui émergent dans son texte, ont été analysées selon articulation entre la (re)construction identitaire, mémorialiste et l’auto-fiction, en considérant la possibilité de contact entre les thématiques présentées et les événements biographiques de Mariama Bâ, possible porte-parole d'une société féminine sénégalaise. L’étude cherche à analyser, a priori, les questions sociales émanant de l’ouvrage ici étudiée et qui signalent par la construction d'une identité, soit par l’action présente dans le récit, soit par l’exercice de mémoire, et en confrontant avec la dualité de la (re)affirmation d'une identité sociale traditionnelle et la tentative de rompre avec ces principes. C’est dans ce contexte et face à diverses critiques par rapport à l’auteure que nous avons proposé l’analyse de cette ouvrage si riche culturellement et encore peu connue au Brésil. Appuyé sur cela, l’étude a cherché à répopndre aux questions suivantes: Mariama Bâ se serait-elle basée sur les aspects de sa vie personnelle pour écrire "Une si longue lettre"? La personnage Ramatoulaye peut être analysé seulement comme une porte-parole de tant d’autres voix sénégalaises silenciées? A partir de ces questions, on a vérifié les rapports possibles entre le présent historique et personnel de l'auteure avec l'ouvrage. Après l'écriture du roman, la fille de Mariama Bâ, Ndiaye (2007), en "Les allés d'un destin", sur la vie de sa mère, présente des aspects de la vie de l'auteur de "Une si longue lettre", qui peuvent révéler des points de contact existant entre la vie de l'écrivain et le récit. En d'autres termes, on a cherché a vérifier si le roman de Mariama Bâ pourrait être lu, dans une certaine mesure, comme de l'auto-fiction, ce qui est l'hypothèse de cette thèse.