Da vontade cativa: um estudo sobre a antropologia de Martinho Lutero
Ano de defesa: | 2013 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Uberlândia
BR Programa de Pós-graduação em Filosofia Ciências Humanas UFU |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | https://repositorio.ufu.br/handle/123456789/15570 https://doi.org/10.14393/ufu.di.2013.282 |
Resumo: | Cette dissertation a pour objet de comprendre la conception de l homme présente dans l ouvrage De la Vonlonté Captive de Martin Luther. On a débuté, pour ce faire, par un préambule utilisant des textes de Cassirer, Eliade et Bergson portant un regard qui commence par la doctrine médiévale des deux mondes, puis la rupture d avec cette manière de penser l homme de la part de certains auteurs de la Renaissance, dans le but d en arriver à l individu moderne, autonome et libre. Dans cette première partie, on montre également que la désacralisation du monde et la recherche de la libération totale par rapport au Sacré a rendu l homme complètement libre et indépendant, et non plus un instrument purement passif. Finalement, on aborde le libre arbitre dans la perspective de Bergson qui fournit le cadre dans lequel on situe la position luthérienne. On traite, dans le premier chapitre, de la controverse entre Érasme de Rotterdam et Martin Luther: libre arbitre contre serf arbitre. Dans le second chapitre, on aborde un nouveau dilemme: volonté captive ou volonté intermédiaire libre? Le cheminement suivi par cette étude se propose d être une tentative de comprendre ce qu était l homme pour Luther et présente le questionnement suivant: existe-t-il un champ intermédiaire ou une zone neutre libre où se situe la liberté du vouloir ou le libre arbitre humain? On finit par conclure que l homme est considéré par Luther comme un simple agent passif face à des forces qui lui sont supérieures: un sujet qui ne possède pas de libre arbitre. |