Liberdade prisioneira: a narrativa do silêncio e da memória em Les corps perdus de François Gantheret
Ano de defesa: | 2012 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Uberlândia
BR Programa de Pós-graduação em Letras Linguística, Letras e Artes UFU |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | https://repositorio.ufu.br/handle/123456789/11848 https://doi.org/10.14393/ufu.di.2012.347 |
Resumo: | Ce travail a le but d étudier l oeuvre de l analyste français François Gantheret, nomée Les corps perdus, publiée en 2004. Cette narrative reconstruit la trajectoire d Andrès, un prisioner politique dans le désert, torturé pendant des années dans un puits dans des conditions inhumaines de survie presque animal. Plus tard, Andrès s\'échappe de la prison et il obtient l\'aide de Tamia, qui lui permet de se récupérer et de reprendre sa vie. Cependant, le protagoniste expérimente, a travers ses mémoires, une espèce de liberté-prisionère, causée par les cicatrices de ses souvenirs dans le présent, qui ne cessent de le tormenter jusqu à la fin de l oeuvre. Dans cette perspective, le personage principal n est pas capable de créer un lieu por soi-même et le reste l incertitude de son identité qui encore continue de le secouer et le rend, comme le titre le prédit déjà, un corps perdu auquel ne reste aucun espoir de changer sa condition et culmine en sa mort allégorique. Cette dissertation analyse le motif par lequel les personages sont des corps perdus, l importance de la memoire comme déterminant de l identité et le discours du silence que peut être aussi interpreté a travers les conditions de violence souffries par Andrès. |