Verdade e justiça na obra Totalidade e infinito de Emmanuel lévinas

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2015
Autor(a) principal: Machado, Rubens
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Santa Maria
BR
Filosofia
UFSM
Programa de Pós-Graduação em Filosofia
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://repositorio.ufsm.br/handle/1/9142
Resumo: Le but à atteindre de cette dissertation consiste à décrire la manière comme Emmanuel Lévinas (1906-1995) conçoit la notion de vérité à partir de son oeuvre Totalité et Infini : essaie sur l extériorité datée de1961. Par contre, afin qu on puísse développer un tel propos il s avère nécessaire de décrire la conception de justice qu ira accompagner toute son oeuvre, et qui nous amène à sa notion de visage ou serait il le contraire? Tel cheminement peut être vérifié quand on étudie l oeuvre de Lévinas ainsi que d autres auteurs qui sont interessés dans son travail. On peut également vérifier dans les écrits des ces auteurs l importance donnée à l idée de la Totalité. Ceci sans obligation que notre auteur soit consideré comme um philosophe de la totalité, tout au contraire. L idée de Totalité fonctionne comme une image de la philosophie occidental, sous entendu comme la philosophie grecque. Une tel image fonctionne également comme un contrepoint rélévant que notre auteur introduit l idée du Infini qu échappe à la Totalité et à la Totalisation. Ceci dit, on peut constater ce qu interesse réellement à Lévinas c est de nous faire voir qu existent des réalités qu échappent au pouvoir totalisateur de la raison ainsi et surtout comme de la raison et de son pouvoir constituant. C est le cas, par exemple, du visage d un autre homme (altérité radical). Le visage de cet homme acquiert ainsi une place centrale avec notre auteur et, à notre sens aussi dans l oeuvre em étude, puisque c est l emplacement même de la vérité, celle-ci n est plus théorique, mais une vérité éthique ou methaphisique en observant que le visage ne se prète pas à l objectivation du dévoilement comme de l adéquation. Cette vérité éthique est possible si on prend en considération que le visage c est l expression de la singularité, de l individu, unique à exister: singularité laquelle est tout à fait possible si on la considère separée de la totalité. Dans ce sens, le concept de séparation est la clef pour acceder à la relation entre sujets singuliers non compris dans un concept, sans former l unité. Notre travail porsuivra avec des essais afin de démontrer qu en partent de la notion de justice notion, puisque Lévinas considère que la justice n est pas en corrélat avec la conscience sous entendu la récéption frontal dans le discours de notre auteur sur la philosophie pour l altérité à travers l explosion de le structure formel noese noema ‒ qui rend possible l éthique et celle- ci ce present alors comme philosophie première en tenant compte que les relations entre les êtres c est la condition de la propre compréhension de ces êtres, en tenant compte de la possibilité de tel comprehension. Finalement, on fera des efforts pour démontrer que pour Lévinas la vérité necessite une justification ,c est- à- dire , a le besoin de devenir juste ou si on veut la vérité c est la propre justice faite à l autre homme dans la mesure où sa parole et sa expression sont bien reçus.