O universal e o particular no problema epistemológico Cartesiano
Ano de defesa: | 2017 |
---|---|
Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Tese |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal da Paraíba
Brasil Filosofia Programa de Pós-Graduação em Filosofia UFPB |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
|
Departamento: |
Não Informado pela instituição
|
País: |
Não Informado pela instituição
|
Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | https://repositorio.ufpb.br/jspui/handle/123456789/13770 |
Resumo: | Le présent travail de thèse, proposant, dans le problème épistémologique cartésien, une relation de conditionnement d’aspect méthodologique sur l’aspect théorique, traite la structure méthodologique, développée préalablement, comme une sorte de programme à travers lequel se développe l’aspect théorique. Ce faisant, l’étude ici présentée propose que le problème rapporté présente un dédoublement que se déchaîne d’aspect formel (la méthode sous la forme d’une mathesis universalis) au aspect psychologique (le domaine subjective, dans lequel arrive le questionnement épistémologique, d’une certaine manière, “instancie” et réalise la structure formel) et au aspect ontologique (à mesure que le questionnement épistémologique résulte en conclusions ontologiques: les présuppositions théoriques de la conception traditionnel du monde, reformulées épistémologiquement, sous la forme de “nature simple”, finissent, ensuite, pour ainsi dire, étant converties en choses), signalant une projection de l’épistémologie à l’ontologie, quoique de mode systématiquement circulaire (à mesure que il y a une présupposition réciproque). Pour faire ça, l’étude rapportée défend que le problème épistémologique en question a comme unité structural la relation entre l’universel et le particulier (que se manifeste dans la relation cognitive, autant dans l’aspect externe, entre le connaisseur et le connaissable, que dans l’aspect interne, entre l’intellect et la sensibilité, sous la régence du concept de “idée”), constituée sous la forme de la préséance et de la réductibilité de la partie du premier sur le dernier. |