Nietzsche: um riso filosófico para além do bem e do mal

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2018
Autor(a) principal: Medeiros, Thiago de Oliveira
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal da Paraíba
Brasil
Filosofia
Programa de Pós-Graduação em Filosofia
UFPB
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://repositorio.ufpb.br/jspui/handle/123456789/13174
Resumo: Ce travail est singulier surtout parce qu’il présente la critique de Nietzsche à la morale, par le biais du léger, du rire et du jeux. Il a l’intention de montrer que l’attaque de Nietzche à la morale de la compassion n’est pas originaire des affections de la vengeance, de la rancune et du ressentiment. La transvaluation de tous ces valeurs, désirées par le philosophe, doit passer essentiellement par un rire profond et impitoyable, contre tous les articles de fois fabriqués par une morale qui a appelé les coups de feu du jeu dans les plus divers domaines de la civilisation. A partir de la sagesse du tragique Zarathushtra de Nietzche, il se peut apprendre que la meilleure façon de se faire face à la désertification provoquée par le nihilisme, et de toute manière de vengeance contre la vie, n’est pas à travers la haine, mais surtout du rire. Ce rire, auquel nous appelons de philosophique et que se destine à l’au-delà du bien et du mal, c’est le seul capable de dire oui contre la joie et l’intensité du jeu de la vie, y compris comme l’« éternel retour » et l’ « envie du pouvoir ». L’homme faible ne supporte pas ce rire parce qu’il ne peut pas voir la grâce dans un monde destitué de sens et de finalité. Cependant, l’homme fort et noble réussit à rire au-delà de la morale, car il souhaite payer le prix de se lancer à l’indéterminée de l’existence, en accueillant chaleureusement le chaos et le tragique comme des parties qui constituent la vie. Dans ce sens, le rire philosophique de Nietzche est dionysiaque, car il ne se destine à corriger l’avenir, ni comporte sur soi quelque type de nausée contre l’existence. Enfin, le rire, au-delà du bien et du mal, a pour but de restituer les puissances créatives de l’homme, en lui offrant un type de curée de toute son envie de trouver, à n’importe quel prix, un fondement métaphysique pour sa vie.