O vírus e a cidade: rastros da gripe espanhola no cotidiano da cidade de Belém (1918)

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2018
Autor(a) principal: ABREU JUNIOR, José Maria de Castro lattes
Orientador(a): SARGES, Maria de Nazaré dos Santos lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal do Pará
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em História
Departamento: Instituto de Filosofia e Ciências Humanas
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://repositorio.ufpa.br/jspui/handle/2011/10118
Resumo: Entre octobre et décembre 1918, la pandémie de grippe espagnole a atteint la ville de Belém, au nort du Brésil, en plus de la mort et la peur a entraîné des changements dans la routine de la ville. Grâce aux journaux, des rapports officiels, des récits de mémorialistes et des documents médicaux, nous avont analisé le quotidien de la ville pendant le passage de la grippe; depuis les moments initiaux òu la maladie n’était pas encore arrivé, cependant avec les nouvelles de la maladie de Rio de Janeiro se répercutantat déjà dans la capitale ; ainsi que le rôle du docteur Carlos Seidl (médicin, née à Belém), le directeur géneral de la santé publique, un poste équivalent aujourd’hui au ministre de la santé; l’atterrissage de la maladie à Belém étant confronté avec le fragile état sanitaire d'une ville qui pensait être moderne, après le « cycle » du caoutchouc, mais qui avait de profondes asymétries sociales; les actions du pouvoir public face au problème ; les pratiques culturelles et religieuses établies dans ce contexte, aussi bien que les stratégies développées par la population pour sa survivence et affrontement de cette question, souvent en tirant profit économique de la situation; les actions de charité, parfois avec des motifs ambigus, mais que ont servi à mettre en évidence deux villes parallèles ; les propositions pour la prophylaxie et le traitement offerts par la médecine et les pratiques de guérison dites populaires; le débat médical produit autour d'une maladie qui semblait bien connue, mais qui se présentait d’une façon différente, juste au moment dans lequel les médecins, recemment organisés en tant que classe, ont remarqué comme les détenteurs de solutions pour beaucoup des sujets sociaux en plus de l’épidémiologie, l’analyse de quelques dossiers medicaux et livres d’enregistrement d’hôpital trouves et les contradictions des données autour du nombre de décès. Finalement, les réflexes après le passage de l'épidémie sont aussi observés, ainsi bien que leur dépliages possibles, dans le domaine médical et dans le domaine social.