A experiência da angústia na clínica psicanalítica e na arte da performance

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2016
Autor(a) principal: Camila Ferreira Sales
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Minas Gerais
UFMG
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/1843/BUBD-AWFLTN
Resumo: Ce que Lacan et Freud nous a laissé concernant la primordialité de lexpérience de langoisse à la clinique, exige que nous, les psychanalystes, ne reculons pas face aux nouvelles recherches sur cette affection. Limportance davancer dans la production théorique à partir des déplacements, défis, interrogation, soupçons, inquiétudes, et dautres variées conduisent à la formulation de nouveaux problèmes sur langoisse . Dans ce cas linspiration vient de lart de la performance dont les spécificités ont été convoquées à lutiliser comme ressources pour penser cette affection dans la clinique. Mais pas seulement cela. Le domaine des arts offre aussi un espace de circulation pour la théorie psychanalytique, ce que peut être bien productif pour les recherches en psychanalyse. Il ne faut que respecter la particularité épistémologique et méthodologique de chaque savoir, sans alors réduire lart à la théorie psychanalytique et vice-versa. Ayant comme soutient ces prémisses, le travail a été développé en trois parties. La première est la reprise du concept dangoisse chez Freud, afin de vérifier sur quels points ce concept a un rapport avec la dynamique pulsionnelle en jeu dans le procès de sublimation. Après avoir trouvé lorigine de langoisse dans le trauma de la détresse, on peut faire un lien entre cette affection et la force créative des artistes, ainsi que lidentification du spectateur à des performances que substantialisent dune certaine manière ce fait traumatique. En deuxième partie labordage de langoisse est dirigé par la théorie lacanienne et le flirt avec lart se fait par les irreprésentables : das Ding et lobjet a. La formulation de Lacan sur das Ding ouvre des possibilités intéressantes pour penser lopacité de la création artistique et la formalisation postérieure de lobjet a. Finalement, larticulation de cette affection avec la dimension du corps nous mène à lobservation de la performance dont lappel à la dimension corporelle demande un regard différent. Peut-être un regard dextranéité, puisque la performance fait remarquer un corps plus difforme que beau, plus réel quimaginaire. Un corps que, si lon suit les indications de Lacan en ce qui concerne langoisse freudienne, est Unheimlich. Enfin, on conjecture que langoisse, au même temps une raison possible de sublimation, apparait aussi comme un effet dun art dont notable caractéristique nest pas exactement apaiser