Uma história do conceito de divertimento na São Paulo do século XIX (1828-1889)

• Ano de defesa: 2017
• Autor(a) principal: Flavia da Cruz Santos
• Tipo de documento: Tese
• Tipo de acesso: Acesso aberto
• Idioma: por
• Instituição de defesa: Universidade Federal de Minas Gerais; UFMG
• Palavras-chave em Português: História dos conceitos; Divertimento; São Paulo; Século XIX; Lazer Aspectos sociais; Espaço urbano; Lazer
• Link de acesso: http://hdl.handle.net/1843/BUOS-ARKMHB

Ce travail reconstitue le parcours historique du concept de divertissement à São Paulo Du XIXe siècle, plus précisément entre 1828 et 1889. Votre but est discuter des utilisations qui ont été faites de ce concept par les acteurs dans un tel contexte, de la reconstruction d'um échantillon de ces utilisations. Qu'est-ce qui nous permettra de connaître la signification Du concept dans le contexte focalisé. Pour cela, ils constituaient comme des sources les journaux A Aurora Paulistana, A Phenix, Correio Paulistano, Diário de S. Paulo, Ensaios Literários, O Acayaba, O Farol Paulistano, e O Novo Farol Paulistano, et la littérature produite par lês voyageurs étrangers qui se trouvaient à São Paulo au cours de la période étudiée. Il a été vérifié que plusieurs de mots ont été utilisés par les habitants de São Paulo pour désigner Le concept de divertissement. Il y avait une dispute entre les mots passe-temps, lamusement, La récréation, les loisirs et le divertissement, dans lequel ce dernier est sorti vainqueur, ce qui constitue donc le signifiant du concept. La signification, ou le contenu du concept de divertissement, concerné les activités qui ont des sentiments et des attentes communes. Ils provoquèrent la joie, le plaisir, la jouissance. Ils se sont opposés à c'était sérieux et austères. Mais en dépit de cette nature commune, cela a été des activités très variées de la musique et Le théâtre, aux railleries et au plus nouveau divertissement de la ville, les sports. Il est également possible, de mieux comprendre la dynamique de la ville de São Paulo, qui n'a pas été si pauvre, calme et pénible, comme on dit, et son indivisibilité des ivertissements. Les divertissements étaient la ville et pour ça, de lui ont dit.