Coesão em textos escritos: análise da referenciação

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 1989
Autor(a) principal: Ivone Vieira Morais Lamas
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Minas Gerais
UFMG
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/1843/FAEC-874HHM
Resumo: Etude de problemes de contextulisation et décontextualisation, par l' accompagnement de l' évolution de ces aspects dans cent vingt-huit textes écrits par-trente-deux étudiants inscrits, en 1988, dans quatre écoles officielles de la ville de Viçosa- Etat de Minas Gerais, en deuxiéme, quatriéme, sixiéme et huitéme années du premier degré (nfants de 8, 10, 12 et 14 ans, respectivement). On utilise, comme instrument d' analyse, la catégorie chésive de référentiation, sous-entendant la cohésion comme étant les traits superficiels (cohésion explicite) ou des relations cohésives, (cohésion implicite) avec l'objectif de vérifier si les variables niveau socio economique, année scolaire, type de texte et appui d'images ont une influence sur le degré des phénoménes linguistiques précédemment décrits et mesurés para la relation entre l'emploi d' anaphore et celui d'exophore.II a été prouvé que ces variables ne dépendent pas i' autre par rapport aux phénomènes étudiés, à 5% de probalité. Si l' on consiére sulement la variable anneé scolaire, clle-civarie significativemente à 5%, autant par rapport à la distribution de l' exophore, formant ainsi deux grands blocs homogènes. Par rapport à l' anaphore, se groupent les quatr premiéres années scolaires et les quatre derniéres, en ce qui concerne l' exophore, la deuxiéme année se diferencie des utres. De plus, les résultts montrent une différene sinifictie, à 5%, en ce qui concerne l' usag d'exophores, duê au type de texte et à l' appui d' images, ce qui ne s' est pas passé dans le cas d' naphores. Dans aucun des deux cas le niveau socio-économique a eu une influence significative. On peut donc conclure que les élèves traversent un processus de construction de connaissance par rapport à la référentiation textuelle. Cela devient évident par la présence plus marquée de réferentiation textuelle dans les textes narratifs sans l'appui d'images et par son absence relative dans les textes narratifs realisés avec l'appui d'images. A partir de cette observation, on croit comprendre que les professeurs doivent considerer ces progrés et rétrocessions comme les étapes d'un processus durant lequel l' éléve est responsable de l' construction de sa connisssance qui ne se réalise pas de façon linéaire.Cela ne retire pas, de l'école, le devoir de planifier une intervention directe pour accélerer ce processus, mais, bien au contrire, cela l'y incite, préssupant que l' eléve, comme être humain qui parle sa langue, a la pontencilité de construire la connissance citée.