Relações entre governo, escola e família no processo de institucionalização da instrução pública elementar em Minas Gerais (1830-1840)
Ano de defesa: | 2006 |
---|---|
Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Minas Gerais
UFMG |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
|
Departamento: |
Não Informado pela instituição
|
País: |
Não Informado pela instituição
|
Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://hdl.handle.net/1843/FAEC-83WRHZ |
Resumo: | À travers cette étude il a été possible de rémarquer que pendant les années 20 et 40 du XIXe siècle ont surgit de différents propos pour lorganisation de lEmpire Brésilien, occasion où ce sont éclatées des manifestations et des rébellions dans les plusieurs provincesdu pays. Comme elles avaient peur de la participation de différentes organisations sociales au mouvements de contestation, les élites brésiliennes se sont elles appliquées à la construction de lordre. Au Minas Gerais, tel que dans les autres provinces, les autorités locales se sont elles tournées vers lélaboration dun ensemble de lois, linstitution de la force publique, la constitution dum corps de fonctionnaires et aussi vers la production dun espace destiné à la formation de citoyens, lécole. Devant les tensions et les agitations sociales qui ont marqué ces années-là, linstruction publique sest présentée comme un important instrument pour lunité sociale et nationnale. En ce qui concerne le modèle pensé par les élites mineiras, lécole élémentaire se destinerait à la formation des citoyens et à la diffusion de la civilité. Il était nécessaire donc organiser le service de linstruction publique et généraliser lenseignement de las primeiras letras à toute la societé. Tourné vers cela, le gouvernement provincial a élaboré unelégislation espécifique pour lenseignement déterminant, parmi les autres choses, les contenus et les méthodes scolaires, linstruction élémentaire obligatoire et lindication des delegados deCírculos Literários. Il était à ces fonctionnaires de vérifier lassiduité scolaire et de soumettre à la loi les parents qui navaient pas ces enfants inscrits ou assidus à lécole de la nation. Pour autant, daprès ce que les delegados literários informaient, une profusion dobstacles empéchaient limposition de cette prescription de la loi. Au délà dindiquer lomission de quelques parents, ces fonctionnaires ont mis laccent sur la pauvreté des élèves 10 qui, à leur tour, participaient aux travaux domestiques, habitaient tout loin de lécole et ne possédaient pas même des vêtements ou des chassures ainsi que les matériaux scolaires nécessaires pour fréquenter lécole. Une autre contrainte, pas moins importante, pour aller à lécole, sévidenciait par la faible capacité de quelques instituteurs publiques et par la forte application de châtiments phisiques. Tout cela a été possible dêtre rémarqué à travers les rapports des delegados literários informant au gouvernement provincial les plaintes des parents contre les instituteurs; et ils ont rapporté encore que le mécontentement de la population provoquait souvent la faible assiduité. |