O MUNDO VIVIDO EM CECÍLIA MEIRELES E CARLOS DRUMMOND DE ANDRADE: uma poética da experiência.

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2020
Autor(a) principal: SOUZA, José de Mota de
Orientador(a): FEITOSA, Márcia Manir Miguel
Banca de defesa: FEITOSA, Márcia Manir Miguel, QUEVEDO, Rafael Campos, LOBATO, Andrea Tereza Martins
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal do Maranhão
Programa de Pós-Graduação: PROGRAMA DE PÓS-GRADUAÇÃO EM LETRAS/CCH
Departamento: DEPARTAMENTO DE LETRAS/CCH
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: https://tedebc.ufma.br/jspui/handle/tede/3297
Resumo: Ce travail porte sur l’espace littéraire en tant qu’un phénomène, en se basant donc sur le concept de “monde de la vie” (Lebenswelt). À l’égard de cette perspective phénomélogique de l’espace, possible grace à l’interdisciplinarité entre la Littérature et la Géographie Humaniste Culturelle, on propose d’analyser et de comparer les espaces campagnards et citadins chez Cecília Meireles et chez Carlos Drummond de Andrade, afin de réfléchir à la création/ construction d’une géographie poétique. Pour cela, on concentre les analyses sous le concept de “géographicité” (DARDEL, 2011), car il réunit la relation de la Géografie avec la phénoménologie et dévoile la complicité que l’Homme, individuelle et collectivement, établit avec la Terre. Comme l’axe de notre parcours analytique, ce concept demande sa corrélation avec les concepts d’expérience, fondement de la relation de l’être avec l’espace, dans lequel apparait la topophilia (TUAN, 2012; 2013), et de lieu, auxquels l’homme peut appartenir et posséder ou non pas la « lieureté » (placeless) (RELPH, 2014). De cette façon, basés sur la lecture de la poésie cécilienne (GOUVÊA, 2008; BOSI, 2007; PASSOS, 2007; GOUVEIA, 2007) et drummondienne (MERQUIOR, 2012; SANT’ANNA, 1972; SANTIAGO, 2001), on doit penser aux sujets poétiques et traiter d’eux comme les êtres de l’expérience participant de la réalité géographique qu’ils construissent.