Territórios peladeiros da periferia proletária de Goiânia : o jogo de bola que subverte o tempo e o espaço

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2008
Autor(a) principal: SILVA, Alexsander Batista e lattes
Orientador(a): CHAVEIRO, Eguimar Felício lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Goiás
Programa de Pós-Graduação: Mestrado em Geografia
Departamento: Ciências Humanas
País: BR
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://repositorio.bc.ufg.br/tede/handle/tde/1923
Resumo: Le football, le sport plus pratiqué au monde, réunit des gens, mobilise des capitales, participe de la géopolitique actuel, photographe les contradictions internes du sujet contemporain, expresse la violence, la corporeité, les conditions psychique et développe des affections, des dissidences, des joies et des tristesses. On comprend qu étudier le football dans une façon informel, ayant comme détache les territorialités des « peladeiros » dans la périphérie de la métropole, implique lancer des regards pleins des indagations sur la pratique de ce sport dans la contemporaneité. Il y a une question spatial au football ? L espace géographique est présent dans l ontologie du football ? Il y a une relation particulière entre le football et la périphérie ? Quel est le sens du football de « pelada » pour les sujets de la périphérie prolétaire ? Ainsi, l objectif centrale de la recherche est d analyser les territorialités des « peladeiros » dans la périphérie de la métropole goianiense, en recherchant leur compréhension comme un lieu ludique, créatif et gai où il y a le rencontre et la sociabilité des sujets sociales sur la dispute pour l espace dans la ville contemporaine. La méthodologie utilisée est l abordage qualitatif, avec l experience de vie, l observation et les entrevues avec les sujets sociales présents. L experience de vie a ouvrit la possibilité d apercevoir les significats plus sutis des moments et des mouvements du phenomène. Nous avons accompagné et nous avons participé des « peladas » « à son intérieur», comme un legitime « peladeiro ». Ce regard dans les territoires des « peladas » pleins des sensations, des emoctions, des sentiments venus des observations realisées hors du jeu et des bavardages avec les « peladeiros », a donné une lecture plus ample sur les territoires des « peladeiros ». Même avec la « territorialização » du capital en créant un nouveau arrangement de l espace urbain, le paysage observée dans la périphérie est plein de football de « pelada ». Avec tous ces cénaires peu propices au jeu, les territoires des « peladas » sont une espèce de résistance/persistance. Dans les « peladas », les sujets de la périphérie se communiquent dans la réalisation d un loisir possible. Le corps exploité et endurci pour la pression du capital se décolle à cause de la « pelada », un lieu des joies, des moments de la vie libre, des rendez-vous et des fêtes. C est le moment de dribbler le souffrance, les douleurs et de créer des espaces de communication et de plaisir. La « pelada » accompagne la vie et expulse le temps fait par le capital et apparaît la joie, la tristesse, la réalisation, la frustration, la passion, la rage. Le faire politique de la « pelada » privilégie, cultive la vie. Les « peladeiros », sur le temps et l espace, trouvent une autre possibilité de vie, des rêves. La vie peut apparaître avec des espoirs, de résistance et de liberté.