OS sentidos do belo no banquete de Platão
Ano de defesa: | 2006 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Programa de Pós-graduação em Letras
letras |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | https://app.uff.br/riuff/handle/1/18556 |
Resumo: | Cette dissertation vise à vérifier les images et les sens du beau chez le dialogue platonicien Le Banquet. Nous partons de l hypothèse générale qui conçois que l´origine de la tradition discursive au sujet de la Beauté appartient à l´ uvre de Platon et, à cause des notions qui sont fondées sur leur philosophie, cadence la pensée esthétique à l´Occident, en situant Le Banquet comme discours inaugural dont la référence est obligatoire aux études esthétiques. Trois hypothèses specifiques coordonnent ce travail: on suppose dans Le Banquet la sistematisation des aspects de la théorie platonicienne de la Beauté dont l´image final adressée au idéal metaphysique et reprendrée en tant que normatisation éthique surpasse sa limite théorique pour s´imposer comme élément problématique à la majorité de la tradition scholar ultérieure, nottament dans ce qui concerne la discussion autours du statute du beau; on comprend la sistematisation de la théorie platonicienne du beau metaphysique comme résultat du dialogue de Platon avec les représentations de la tradition discursive grécque au siècle V aC, délibérée confrontation morale à propos des diverses formes du savoir et ses possibilités d´accés à la Verité, particulièrement la poesie tragique (Agaton et Phè dre), la Comédie (Aristophane), la Médecine (Eryximaque), le programme éducationel basé sur la pederastie (Pausanias) et la question dionisiaque (Alcibiade); finalement, on crois être posible observer dans Le Banquet les notions que Platon valide et lesquelles il devra rejetter dans la tradition qui lui précède, et, de cette façon, acceder au sens plus important chez le dialogue, qui est sans doute le sens metaphysique du beau, néanmoins un sens metaphysique qui retourne de la reine du monde inteligible pour se réaliser aussi comme valoir éthique qui tends vers le c ur des hommes et la vie de la Polis. Mais les sens metaphysique et éthique ne fontionnent pas sans l´intervention d´une nouvelle ontologie de la beauté, à partir de la révision opérée par Socrate en vue d´autres discours. |