Somos quase felizes : movimentos do desejo em tempos de ansiolítico
Ano de defesa: | 2013 |
---|---|
Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal do Espírito Santo
BR Mestrado em Psicologia Institucional UFES Programa de Pós-Graduação em Psicologia Institucional |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
|
Departamento: |
Não Informado pela instituição
|
País: |
Não Informado pela instituição
|
Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://repositorio.ufes.br/handle/10/1099 |
Resumo: | Ce document porte sur les modes de vie dans des pratiques contemporaines en ce qui concerne l’usage des anxiolytiques. Nous proposons une approche de recherche qui ne cherche pas à découvrir des vérités, mais l’écoute et l'écriture des sensibilités plus actuelles. J’ai choisi le cinéma et l’entretien, intercesseurs de ce travail, afin de montrer des idées nouvelles qui s’expriment sur ce thème. Les films La peau qui m’habite (A pele que habito), Medianeras et Le clown (O palhaço), ainsi que deux interviews avec des utilisateurs d'anxiolytiques, forment le corps de cette recherche. Des analyses et l’écoute dans ce domaine, nous ont conduit à une discussion entre les moyens paradoxaux de la vie qui nous plongent dans un rythme de plus en plus rapide et qui peuvent provoquer des maladies - résultat des forces capitalistes, de la technologie et des médias – et produisent également le désir de sensations anesthésiantes du corps afin de résister à la saturation où nous y sommes. Ceux qui ne supportent plus les styles urbains de la vie et ont envie d’une nouvelle éthique face à celle là; une politique de refus de nouveaux rythmes. Une discussion basée sur Deleuze et Guattari, et les auteurs Nietzsche, Spinoza et Foucault. |