Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2015 |
Autor(a) principal: |
Esteves, Camila Del Tregio
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Orientador(a): |
Sanches Neto, Miguel
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Banca de defesa: |
Harmuch, Rosana Apolonia
,
Bueno, Raquel Illescas
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Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
UNIVERSIDADE ESTADUAL DE PONTA GROSSA
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Programa de Pós-Graduação: |
Programa de Pós Graduação em Linguagem, Identidade e Subjetividade
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Departamento: |
Linguagem, Identidade e Subjetividade
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País: |
BR
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Palavras-chave em Português: |
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Área do conhecimento CNPq: |
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Link de acesso: |
http://tede2.uepg.br/jspui/handle/prefix/406
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Resumo: |
L’objectif de ce travail de recherche est d’analyser l’auto-théorisation, ou la poétique, dans la production la plus récente du conteur Dalton Trevisan. On part de la compréhension de l’auto-théorisation comme autoréflexion littéraire, c’est-à-dire, la littérature qui se penche vers elle-même, qui cherche une réflexion théorique fusionnée à la fiction. Il s’agit du faire littéraire exposé au lecteur. On commence par une contextualisation sur le conte, en tant que genre écrit, ses auteurs paradigmatiques, les caractéristiques et modèles qui définissent le genre; pour arriver, ensuite, à établir la position où se trouve Trevisan dans cet univers. Ce mémoire établit comme seuil du corpus de recherche la publication du conte Quem tem medo de vampiro? (1992), parce que nous considérons qu’à partir de ce point la procédure de l’auto-théorisation devient plus explicite et systématique dans l’oeuvre de l’auteur. L’analyse des contes prend appui sur la critique littéraire, les intertextualités et sur l’oeuvre elle-même, toujours en comprenant ces aspects comme des procédures qui révèlent les valeurs littéraires de l’auteur. Le développement du travail est fondé, principalement, sur les contes suivants, ainsi que du conte antérieurement mentionné: Ecos, Capitu sem enigma et Um conto de Borges, de l’oeuvre Dinorá (1994); 54, de Ah, é? (1994); 2, 3, 82, 182, 192 et 204, de Pico na veia (2002); Adeus, Vampiro, de Rita Ritinha Ritona (2005); Ei, vampiro, qual é a tua?, de Macho não ganha flor (2006); O Pai, O Bom et quelques lettres de Desgracida (2010); Retrato 3x4 et O agradecimento, de Até você, Capitu? (2013) et Nicanor, de O beijo na nuca (2014) – en ayant l’autothéorisation et l’exemplification des procédures de Trevisan comme des critères de choix. Certains préceptes d’une théorie du conte basée sur la fiction de Trevisan deviennent évidents, comme l’exigence de vraisemblance, la brièveté, la concision, la pleine autonomie de l’oeuvre par rapport à l’auteur, ainsi que la dilution de la notion rigide de genre qui pointe vers l’extrapolation de ses frontières, et vers la juxtaposition et la mise en tension des modèles de référence. |