Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2017 |
Autor(a) principal: |
VANZ, ANACIR ALVES PRZYGOCKI
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Orientador(a): |
Fernandes, Célia Bassuma
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Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Universidade Estadual do Centro-Oeste
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Programa de Pós-Graduação: |
Programa de Pós-Graduação em Letras (Mestrado)
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Departamento: |
Unicentro::Departamento de Letras
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País: |
Brasil
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Área do conhecimento CNPq: |
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Link de acesso: |
http://tede.unicentro.br:8080/jspui/handle/jspui/804
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Resumo: |
La violence institutionnelle ou obstétricale est une partie du complexe ensemble de la violence de tous ordres auxquels les femmes ont été soumises à au fil des ans. Sujet de discussion à la fois dans les universités et dans d'autres segments de la société, il s’agit d’un terrain fertile pour éclater de nombreux discours sur cette pratique à long temps abasourdi dans/grâce à notre formation sociale, en raison de la condition de subordination et la soumission à laquelle ce sujet il a été relégué depuis si longtemps. Ainsi, cette recherche, basée sur les principes théoriques de l’Analyse du discours française (AD), vise à analyser la façon dont la violence obstétricale était discursivizada dans le discours journalistique, quels effets de sens ces discours mis en circulation produisent et quels souvenirs en eux résonnent. AD est une théorie de l'interprétation développée en France par Michel Pêcheux et étudié au Brésil par Eni Orlandi et d'autres chercheurs que à elle sont affiliés, qu’envisage comprendre comment un objet symbolique produit des significations, en approchant des relations établies entre la langue, le sujet et l'histoire. Du fichier constitué, nous avons découpé de deux magazines qui circulent dans notre pays: le premier, intitulé "Parto com respeito”, diffusé dans le magazine Época (Ed n° 895 du 08/03/15). Et le second, dont le titre est “Uma em cada quatro mulheres sofre violência no parto” diffusé dans le magazine Carta Capital, dans sa version en ligne et dont la dernière mise à jour était em 06/06/2015. Dans notre geste d'analyse, les rapports, qui sont là où le discours sur la violence obstétricale se matérialisent, ont été compris comme des textes qui entrelacent différentes matérialités importants que Lagazzi (2009) et qui se rapportent à la façon dont le sens se produisent. Selon la théorie dans laquelle nous nous sommes inscris, les discours verbal et non-verbal travaillent de façon analogue, ainsi que tous les dits sont le résultat d'un déjà-dit d’auparavant, dans d'autres circonstances d’énonciation aussi l'image est un déjà-vu ailleurs et que signifie le fonctionnement de la mémoire discursive. Les analyses entreprises témoignent que la violence obstétricale est une question complexe qui recoupe, au premier discours inscrits dans le domaine de la religion et de la science (médecine et la biologie), deux forces idéologiques capables de contrôler même la naissance des différents modes, la détermination sa forme. De cette détermination, le féminisme ou le discours féministe, comme un mouvement social ne s’identifie pas avec ce qui est donné à vous de penser par la religion et par la médecine, en se fondant sur la justice de la parole, qui fait circuler des sens que chaque femme devrait avoir un traitement digne au moment de la naissance des enfants et qui s’aligne au discours de l'Etat, en disant promouvoir les politiques publiques pour l'assurer. Cependant, malgré ces discours ne sont pas rares les cas où le sujet-féminin a ses droits niés et devient victime au moment de la parturition, moment est, considéré comme l'un des plus importants de leurs vies. |