Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2020 |
Autor(a) principal: |
Cabral, José Jairo Ferreira
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Orientador(a): |
Amorim, Helder Remigio de |
Banca de defesa: |
Silva, Augusto Cesar Acyoly Paz,
Silva, Maria do Rosário da |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Universidade Católica de Pernambuco
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Programa de Pós-Graduação: |
Mestrado em História
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Departamento: |
Departamento de Pós-Graduação
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País: |
Brasil
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Área do conhecimento CNPq: |
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Link de acesso: |
http://tede2.unicap.br:8080/handle/tede/1851
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Resumo: |
Le présent travail a pour but d’étudier les fonctions des manifestations culturelles festives dans les disputes entre projets politiques dans une société stratifiée en classes sociales et traversée par la lutte de classes. Pour ce faire, nous avons pris comme objet empirique d’observation le carnaval de Recife pendant l’État Nouveau, une période de florissante organisation de cette fête par le pouvoir public et, subséquemment, de rigoureuses impositions disciplinaires. Dans un premier moment, nous cherchons à caractériser et à historiciser le modèle de carnaval engendré par l’État Nouveau, dont la principale matrice a été implantée à Rio de Janeiro, alors capitale du pays, dans la perspective de bâtir un pôle de rayonnement vers d’autres régions, particulièrement le Pernambouc. Ensuite nous traitons des deux courants de lecture, provenants des traditions historiques, qui se penchent sur le carnaval et qui présentent respectivement la fête carnavalesque comme une manifestation de nivellement et de concorde sociale et, à l’opposé, une autre compréhension de ce que l’expérience du carnaval opère comme un renfort symbolique et effectif des inégalités et contradictions de classes dans une société capitaliste autoritaire et centralisatrice organisée sur les fondations de l’État Nouveau. Pour ce faire, nous puisons dans les références théoriques gramsciennes, particulièrement les concepts de culture et hégémonie. |