O cuidado de si em Foucault e a possibilidade de sua articulação com a categoria "Ubuntu" na filosofia africana de Severino Elias Ngoenha

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2016
Autor(a) principal: Jimica, Camilo José lattes
Orientador(a): Madarasz, Norman Roland lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Filosofia
Departamento: Escola de Humanidades
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://tede2.pucrs.br/tede2/handle/tede/7208
Resumo: Cette recherche établit un dialogue entre le souci de soi chez Michel Foucault et la philosophie Ubuntu: «Je suis parce que nous sommes" dans le contexte des théories contemporaines de l'éthique, à la fois dans sa partialité herméneutique du sujet, comme dans son biais analytique de l'ontologie du présent et de la question de l'être chez Kant. Elle a l’intention d’aller au-delà de l’individualisme, montrant la nécessité d’une politique de la relation et d’éthique de la relation à l’autre, c’est-à-dire, d’une morale sociale comprise comme un point d’équilibre entre le j’et le nous. Cette recherche présente la notion de sujet chez Foucault, illustrée par des études autour du souci de soi. Se présente alors comme « Je suis parce que nous sommes » est conçu et utilisée pour enseigner le savoir-être ensemble dans les communautés en Afrique subsaharienne. L'importance de cette relation avec l’autre est-ce: vous ne pouvez pas oublier l’étant que chaque homme est (je suis... nous sommes). Mais la pertinence de ce principe normatif de la philosophie africaine réside dans sa capacité à interroger comme les concepts modernes du sujet, de l'homme et de l'être ont été historiquement établi par la pensée occidentale (Descartes, Kant et Foucault), apporter une réponse qui contribue clairement à la philosophie, politique et surtout l’histoire de l’Afrique (comme le révèlent les travaux de Ki-Zerbo et Ngoenha sur le problème du sujet qui est toujours la préoccupation des anthropologues et philosophes de l’altérité comme Levinas). Le problème est que chaque personne peut dire «Je suis parce que nous sommes», sans expliquer tous les concepts impliqués (sujet, être, temps). Quelle philosophie pensé à faire cela? Cela est apparu la nécessité de recherches éthiques sur des enjeux contemporains de l’herméneutique historique du sujet et de Ubuntu et avec une justification adéquate. Le terme «parce que» utilisé dans Ubuntu est un indicateur de conclusion: je suis parce que nous sommes. Dans cet argument, la conclusion est que vous voulez justifier. La raison est que vous et moi (nous) sommes. «Je suis» est l’information, les nouvelles données que nous avons sur le problème du sujet et d’être. La conclusion est «nous sommes». C’est une conséquence que la raison: Pourquoi suis-je? une personne peut prendre. Ainsi, la conclusion correspond l’opinion du sujet sur le problème de l'être et la vie en communauté.